Malgré le déferlement médiatique auquel elle a dû faire face, Farida Belghoul continue son combat contre l’introduction de la théorie du genre à l’école. Elle a appelé à une deuxième journée de retrait de l’école dans toute la France pour ce lundi 10 février. Dans son communiqué, elle explique les raisons de cet appel tardif par le fait d’épargner à ceux qui le suivraient les pressions de la part d’agents de l’Éducation Nationale.
La première journée a été un succès face aux réactions du gouvernement qui tentent en vitesse de supprimer certaines preuves :« La première JRE a rendu célèbre notre action pour sauver la pudeur et l’intégrité de nos enfants. Malgré toutes les calomnies, nous avons gagné la première bataille : le site de la Ligne Azur vient de se retirer de l’internet ; de nombreux documents officiels faisant la promotion de l’idéologie du genre ont disparu comme par miracle eux aussi des sites gouvernementaux.
De plus, grâce à la JRE, la présence de la théorie du genre dans les classes apparait jour après jour comme une réalité bien qu’elle soit qualifiée de « folle rumeur » par le Ministère et ses media. Des personnalités de plus en plus nombreuses confirment que l’idéologie du genre, sous couvert notamment de l’ABCD de l’égalité, est d’ores et déjà bel et bien en œuvre dans les programmes scolaires, à titre expérimental, et sera généralisée à partir de la rentrée de septembre 2014. »
Dans un communiqué paru ce matin, l’Institut Civitas continue de lui apporter un soutien public tout en demandant à ses militants et sympathisants de se mobiliser:« Civitas tient à apporter son soutien à la reconduction, ce lundi 10 février 2014, de l’initiative Journée de Retrait de l’Ecole à l’appel du collectif JRE2014. Collectif auquel Civitas renouvelle par là, l’assurance de sa solidarité dans la lutte contre l’idéologie du genre et son enseignement dans les écoles.
Après avoir contribué aux cotés notamment de Farida Belghoul (JRE) à démontrer que l’idéologie du genre existait et était bel et bien enseignée en milieu scolaire, contrairement à une rumeur mensongère relayée jusqu’au plus haut niveau et qui prétendait l’inverse .Civitas profite de cette occasion pour réengager ses militants et sympathisants à se mobiliser avec détermination contre cet enseignement sournois de la perversion aux enfants, en participant notamment à toutes ces initiatives de bon sens qui s’opposent à ces folles velléités du pouvoir, de vouloir imposer cette idéologie contre-nature dans la société et son enseignement obligatoire à nos enfants dans le système scolaire. »
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