Site icon medias-presse.info

Théorie du genre : Najat Vallaud-Belkacem continue de nier

Avec la mauvaise foi qui la caractérise, la ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem continue de prétendre qu’elle ne cherche pas à promouvoir la théorie du genre.  Une théorie qui « n’existe pas », tout simplement, selon les mots de la ministre franco-marocaine qui se plaint par ailleurs, c’est à la mode, d’être victime de racisme, comme sa collègue Christiane Taubira.

« Il faut se garder d’accorder plus d’importance qu’elles n’en ont aux réactions plus bruyantes que représentatives. Il faut bien distinguer, en particulier, les réactions d’instrumentalisation (…) qui essaient de faire peur avec une soi-disant « théorie du genre », et les interrogations légitimes de parents curieux », a déclaré Najat Vallaud-Belkacem.

Dans ce contexte, il faut encourager à aller écouter les conférences d’Alain Escada, président de Civitas. Il sillonne en ce moment les villes de France et sera ce vendredi soir à Domezain (20h – Ecole St Michel Garicoits) et samedi soir à Bordeaux (20h30 – 19 avenue Charles de Gaulle, Bruges) pour décrypter cette théorie du genre. Continuant à servir d’aiguillon, comme cela avait été le cas en 2012 dans la bataille contre la loi Taubira voulant dénaturer le mariage, Civitas offre avec ces conférences et le livre rédigé par son président une analyse complète du problème tout en le mettant à la portée de tous. C’est à notre connaissance le seul conférencier qui souligne, références à l’appui, la dimension antichrétienne omniprésente chez les idéologues du genre.

De quoi remettre les idées en place et répondre au déni de Najat Vallaud-Belkacem.

La propagande est déjà bien en cours.
Les futurs enseignants reçoivent cette année une formation au sein des Ecoles supérieures du professorat et de l’éducation (Espe) pour lutter contre les « stéréotypes de genre ».
Tandis que dans les collèges et les lycées, l’agence du service civique organise avec des associations LGBT des activités destinées à formater enfants et adolescents. « J’ai eu l’occasion d’en voir un certain nombre fonctionner, et sur des sujets qui peuvent parfois mettre mal à l’aise les enseignants, sur les questions d’orientation sexuelle et plus largement d’éducation à la sexualité, les meilleurs interlocuteurs sont les associations », estime la ministre, qui souhaite leur « ouvrir plus grand la porte des établissements scolaires ».

Le pire est à venir…

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

Quitter la version mobile