Au Québec, nous arrivons aux conséquences ultimes de l’idéologie du gender. C’est à peine croyable. La Commission scolaire de Montréal (CSDM) a décidé que chaque élève ayant envie de changer de sexe, pourra s’habiller en fille ou en garçon en fonction de ses envies. Il choisira de faire du sport avec les filles ou les garçons, là où il se sentira le plus en sécurité. Il pourra changer son nom et son prénom ; utiliser les toilettes, les douches et les salles de bain de son choix : « c’est une question d’égalité et de respect ». Le « seul indicateur fiable de l’identité de l’élève est sa parole ». Les professeurs devront se mettre à l’alignement. Ainsi Jean pourra se faire appeler Clémentine s’il le désire. De plus les profs seront tenus à une totale confidentialité concernant le sexe et le nom réel des écoliers.
Il va de soi que celui qui se sent d’un autre sexe aura la possibilité de revenir à l’orientation que la nature lui a donnée.
Ce type de mesure existant déjà pour les adultes est désormais étendu aux mineurs qui pourront bénéficier de ces choix variés ou alternés. Un tel projet dit N° 35 en effet existe pour les majeurs depuis l’automne dernier. La seule chose qui sera différente, c’est que l’enfant ne pourra décider par lui-même de se faire changer de sexe chirurgicalement (réassignation sexuel). « La ministre Vallée nous a dit qu’elle déposerait un projet de loi pour les jeunes transgenres et que ça se ferait sous peu », a confirmé le journal Mona Greenbaum de la Coalition des familles LGBT. Apparemment les parents seraient d’accord avec la décision de la CSMD qui entre en fonction jeudi prochain.
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