La théorie du genre n’existe pas, l’air est connu.
Pourtant le gouvernement belge travaille à un « Plan fédéral relatif à la mise en œuvre du gender mainstreaming » dont la réalisation devrait s’étaler de 2015 à 2019.
Le document fait référence à la Conférence mondiale de Beijing il y a vingt ans pour expliquer que la Belgique s’est engagée à intégrer « la dimension du genre dans l’ensemble des politiques publiques ».
Comme partout, pour faire avaler la pilule, il y est question officiellement de « renforcer l’égalité des hommes et des femmes » mais on sait que cela débouche systématiquement sur la promotion des revendications LGBT et la banalisation des transgenres, nouvelles égéries du nouvel ordre sexuel mondial.
Le plan fédéral belge annonce « l’intégration de la dimension de genre » dans les instruments de planification, les marchés publics et les subsides.
Le Premier ministre Charles Michel s’est engagé à « poursuivre l’intégration de la dimension de genre dans la communication des autorités fédérales » et à « réaliser un screening des campagnes de communication des autorités fédérales sous l’angle du genre ».
Certains éléments de cette note fédérale belge prêteraient à sourire si on ne savait à quelle entreprise de subversion tout cela participe. Ainsi Jan Jambon, ministre de la Sécurité et de l’Intérieur, s’est engagé à « intégrer la dimension de genre » dans « la prévention et lutte contre la radicalisation » et « la formation de base des pompiers »… Le ministre belge des Finances est, lui, chargé de « relancer la Task Force gender mainstreaming » !
Mais tout cela n’a rien d’une histoire belge. La subversion s’installe partout.
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