CANADA, Alberta – Un policier de Calgary, suspendu sans solde pour avoir refusé le vaccin expérimental anti-COVID, a prononcé un discours de démission puissant lors d’un rassemblement en faveur de la liberté ce week-end.
Samedi, Brian Denison, après 24 ans de service à la police de Calgary, a annoncé sa démission après avoir récemment été suspendu sans salaire. Il a aussi signalé à la foule comment ses supérieurs lui ont dit qu’il n’était pas autorisé à parler publiquement de la coercition qu’il subit ou de l’illégalité potentielle entourant la politique vaccinale.
«Alors, hier, j’ai reçu des nouvelles très intéressantes selon lesquelles j’étais muselé de manière tyrannique par les services de police. On m’a donné des ordres directs, écrits (…) », a informé Denison.
« J’ai décidé que j’allais dormir là-dessus parce que c’est un ordre direct écrit depuis le haut de l’échelle. Alors, je l’ai fait, j’ai dormi dessus. J’ai fait une bonne prière à Dieu au sujet de ce qui allait arriver. Donc, ce matin, malheureusement, j’ai remis ma démission parce que je ne peux pas me plier à ce qu’ils font », a ajouté l’ancien officier de police, dont la déclaration a été accueillie par des acclamations. « Leurs ordres sont injustes. Les ordres de ce gouvernement sont injustes. Ne les écoutez pas. »
Denison s’est fait connaître il y a plusieurs semaines lorsqu’il a publié une vidéo de lui-même, en uniforme, déclarant publiquement qu’il n’allait pas se conformer à la politique de vaccination COVID-19 du service de police de Calgary et qu’il a exhorté les autres agents à faire de même. Une vidéo qui n’est pas sans rappeler celle d’une policière espagnole dirigeant l’association Police for Freedom.
Le mandat coercitif entrait en vigueur le 1er décembre, obligeant tous les policiers soit à fournir la preuve qu’ils ont été « complètement vaccinés » contre la COVID, soit à accepter de se soumettre à des tests fréquents, sinon ils seraient suspendus sans salaire.
Alors que de nombreux Canadiens s’opposent aux vaccinations obligatoires pour des raisons juridiques et morales, l’avocat des droits constitutionnels Rocco Galati a averti que les tests obligatoires sont également illégaux et devraient donc être combattus dans le cadre de la lutte contre la tyrannie envahissante.
Denison a dit à la foule : « Le chef, la commission de police et le maire ont tous tort. Nous ne pouvons pas continuer à leur permettre de contrôler nos vies. Nous avons une constitution dans notre pays et cette constitution est la loi suprême de notre pays. Nous avons la Charte des droits et libertés, et ils les enfreignent tous. »
« N’ayez pas peur de ce qu’ils peuvent faire parce qu’ils ne peuvent rien faire. Vous avez tout le pouvoir ; ils travaillent pour vous. «
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