Communiqué de la Ligue du Midi

Sumène : les rabas (*) antifas se défoulent sur les commerces

Cela faisait quelques mois (depuis l’agression avec armes, en juillet 2019, à 5 contre 1, d’Olivier Roudier) que les antifas de Sumène et de Saint Julien de la nef (Cévennes Gardoises) n’étaient pas sortis de leurs trous à rats pour attiser leur haine par leurs activités putrides.

On sait que ces lâches trouble fêtes ont deux occupations favorites :

1° S’appuyer sur des étrangers à notre région : en juillet profitant des « trans cévenoles » et d’un samedi de mobilisation de « black blocs » à Montpellier, ils firent venir, pour accomplir à leur place leur sinistre besogne de cassage de gueule, un contingent de casseurs lyonnais.

2° Sortir à la nuit tombée pour saccager du matériel ou peindre des tags sur les espaces publics ou privés.

C’est ainsi que dans la nuit de lundi à mardi, vers les 23 heures leurs cibles furent triples :

1° Les forces de l’ordre

2° Les devantures des commerçants

3° La Ligue du Midi et les Roudier (figures emblématiques de la résistance)

Quelques exemples de leur art poétique :

« ACAB » (All Cops Are Bastards – Tous les flics sont des Bâtards)

« Nik la ligue du Midi »

« Roudier en taule » ce qui démontre leurs profonds sentiments libertaires

« J’te saigne » ce qui est une menace de mort qui fleure quand même un peu la haine (il parait qu’il existe des lois)… On attend que les députées Muriel Ressiguier et Laetitia Avia se positionnent sur la question !

Résultats des courses : près d’une dizaine de devantures taguées dont principalement celle du Bureau de tabac (voir photo).

On peut se poser la question de savoir pourquoi ces petits cons s’en prennent à des commerces ruraux car on n’a pas à faire à de gros capitalistes ou des boutiques de luxe ?

On sait que par le passé, ils s’étaient déjà attaqués à une supérette près des Ecoles et plus récemment à une bodega appartenant à une sympathique restauratrice peu soupçonnable d’accointances avec la Ligue…

Il s emblerait que la gendarmerie du Vigan prenne l’affaire au sérieux d’autant qu’à ce jour une dizaine de plaintes ont été déposées. En procédure de flagrant délit (menaces de mort, injures envers la police, dégradations de biens) les gendarmes ont interrogé de nombreux habitants du voisinage et relevé un certain nombre d’indices.

Le maire de la commune, Jérôme Moralli, interpelé par Olivier Roudier sur le perron de la mairie a simplement déclaré qu’il ne se sentait pas concerné par cette affaire n’ayant « aucune capacité pour agir » (Les commerçants électeurs apprécieront). On constatera simplement la célérité dont il a fait preuve pour faire disparaitre les traces des délits alors qu’il laisse proliférer sur le matériel urbain communal de nombreux autocollants antifas incitant à la haine et appelant au meurtre.

Ainsi Ponce Pilate se lavait les mains…

(*) Rabas : blaireau puant

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