Il déshabille la Madone et porte sa couronne : un immigrant afghan arrêté en Suisse. Le demandeur d’asile a 17 ans et, selon les premières informations de la police, il souffrirait de « troubles mentaux ». C’est pour cette raison qu’il a été emmené dans un centre de traitement.
Un nouvel acte de vandalisme contre une église catholique par un étranger extra-Européen
C’est un nouvel acte de vandalisme contre une église catholique. Les faits se sont déroulés cette fois-ci en Suisse, dans une église de la ville d’Einsiedeln, dans le canton de Schwytz, non loin du lac de Zurich. Le tranquille pays suisse, qui mène une politique d’accueil très rigoureuse à l’entrée mais ensuite particulièrement généreuse pour les demandeurs d’asile, a été choqué par cet épisode particulièrement sacrilège. Einsiedeln est connue en Suisse, mais pas seulement, pour sa grande abbaye construite dans la première moitié du XVIIIe siècle dans le style baroque allemand et rococo, qui fut le lieu de l’attaque.
À l’intérieur, au fond de la nef centrale et devant le portail d’entrée, se trouve une somptueuse chapelle qui abrite la Vierge noire, profanée par un demandeur d’asile étranger, un clandestin afghan, bien connue en Suisse, à laquelle les habitants d’Einsiedeln et des environs les régions sont particulièrement attachées. Il s’agit d’une statue des années 1400 offerte à l’abbaye en 1547 par l’abbé du monastère de Maulbronn. Elle porte un précieux manteau brodé, qui change de couleur selon les occasions ; sa tête ainsi que celle de l’Enfant Jésus qu’elle porte dans ses bras sont surmontées d’une précieuse couronne royale.
🇨🇭 | À Einsiedeln, un homme a endommagé une statue de la Vierge Marie (appelée « Vierge noire ») datant du 15ème siècle.
Le suspect, âgé de 17 ans et reconnu comme demandeur d’asile, souffrirait de troubles psychologiques. ( Encore une fois…)
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Sans surprise, pour les autorités le coupable souffre de « troubles mentaux »
La nouvelle de cette odieuse profanation n’a été connue que ces dernières heures, mais samedi après-midi, vers 15 heures, un mineur demandeur d’asile venu d’Afghanistan est entré dans l’église alors que les fidèles étaient rassemblés en prière, a déshabillé la Madone, l’a découronné pour poser la couronne sur sa propre tête.
Certains fidèles présents ont filmé toute la scène, tandis que d’autres ont appelé la police cantonale, qui est rapidement intervenue à l’abbaye et a placé l’étranger en garde à vue. L’administration de cet important quartier catholique a annoncé que « l’image miraculeuse très vénérée datant du XVe siècle a subi de légers dommages ». Heureusement, la statue n’a pas subi de dommages graves dus à l’action du demandeur d’asile et a déjà regagné sa place pour être vénérée par les fidèles. En outre, ajoutent-ils dans la note, « nous sommes profondément désolés pour cet incident et nous pensons aux nombreuses personnes dont les sentiments religieux ont été blessés ». La police enquête pour connaître les causes de ce qui s’est passé mais, entre-temps, le demandeur d’asile a été transféré dans un établissement psychiatrique car, selon les autorités, il souffre de « troubles mentaux ».
Ce n’est pas la première fois qu’un étranger en Europe s’en prend à des symboles de la religion catholique et, comme à chaque fois, les autorités excusent ces gestes en donnant comme motif l’incapacité de comprendre et de vouloir des coupables. Coupables qui, faut-il s’en étonner, viennent en majorité de pays musulmans. Ceci explique peut-être cela, tant l’acte que la veule attitude des autorités…
Francesca de Villasmundo
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