L’exploitation politique de l’affaire de Charlottesville prend une tournure qui ne peut qu’aboutir à un regain de violences raciales. Les activistes noirs de Black Lives Matter s’en donnent à cœur joie pour semer le chaos. Or, qui les finance ? Mais oui, encore et toujours George Soros…
Catherine Pugh, maire de la ville de Baltimore (Maryland), et le City Council avaient déjà fait retirer discrètement dans la nuit du 15 au 16 août quatre monuments confédérés : la statue en hommage aux soldats et marins du Maryland qui se sont battus pour la Confédération; le monument en hommage aux femmes confédérées; le monument en hommage aux généraux Robert E. Lee et Thomas. J. « Stonewall » Jackson et le monument en hommage à Roger B. Taney, président de la Cour suprême des États-Unis durant la guerre de Sécession.
Des activistes noirs ont remplacé la statue des généraux Lee et Jackson par une statue représentant une femme noire enceinte, appelée Lady Liberty et le racisme anti-blanc s’exprime de plus en plus ouvertement par ces activistes noirs dits antiracistes.
La chaîne WUSA9 signale que les autorités de Baltimore n’ont pas l’air pressées d’enlever cette statue pirate des activistes noirs.
Partout, on signale des monuments confédérés vandalisés.
Monument vandalisé à Charlotte, Caroline du Nord Monument vandalisé à Baltimore Monument vandalisé à Charleston Monument vandalisé à Charleston Monument vandalisé en Nouvelle-Orléans Monument vandalisé à St Louis, Missouri Monument vandalisé à l’Université du Texas, AustinMonument détruit à Durham, Caroline du Nord
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