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Soros : 220 millions de dollars contre le racisme

« Nous sommes honorés de pouvoir poursuivre le travail vital de lutte pour les droits, la dignité et l’équité pour les personnes opprimées à travers le monde, initié par notre fondateur, George Soros », a déclaré le président de l’Open Society Foundations, Patrick Gaspard.

Soros est généreux… envers toutes les associations promouvant un anti-racisme qui confine au racisme anti-blanc : sa fondation, l’Open Society, véritable cheval de Troie du mondialisme dans des sociétés occidentales nihilistes, ayant renoncé à leurs repères identitaire, civilisationnel, culturel, spirituel, pour l’utopie du « vivre-ensemble », vient de donner 220 millions de dollars à Black Voters Matter, Circle for Justice Innovations et à d’autres organisations dirigées par des Afro-Américains aux États-Unis et luttant contre le « racisme systémique ».

L’Open Society fondée par le financier libéral George Soros a annoncé le 13 juillet dernier un programme d’aide de 220 millions de dollars pour soutenir « les organisations émergentes et les leaders des communautés noires à travers le pays » en misant sur leur « capacité à nous conduire vers un avenir meilleur ». L’organisation  »philanthropique » a elle-même annoncé la nouvelle dans un communiqué. La plus grande part des dons (environ 150 millions de dollars), explique l’organisation de Soros, bénéficiera aux organisations qui luttent pour l’égalité raciale. L’Open Society investit donc massivement pour soutenir des organisations qui animent des manifestations antiracistes dans de nombreuses villes des États-Unis, ayant déjà parrainé Black Lives Matter dans le passé.

C’est une pluie de millions pour soutenir les militants antiracistes.

« C’est passionnant de vivre ce moment de transformation avec le mouvement pour la justice raciale » a déclaré Patrick Gaspard. « Nous reconnaissons que la lutte pour démanteler le racisme systémique est en cours; ce dernier existe depuis l’aube de la république jusqu’à nos jours et est intégré à tous les niveaux de gouvernement et à nos systèmes pénaux et judiciaires. Mais la vague de gens qui sont descendus dans la rue pour demander à cette nation de faire mieux, des gens de tous âges, de tous les horizons et de tous les coins du pays, nous donnent de l’espoir à tous. »

« Le succès de ce mouvement, le plus important de l’histoire des États-Unis, se mesurera au fil des années, et non au fil des semaines », a déclaré Tom Perriello, directeur exécutif d’Open Society-US. Les bénéficiaires de cette série d’investissements sont des groupes émergents tels que Black Voters Matter et Circle for Justice Innovations. D’autres sont des organisations plus établies telles que la Breach and Equal Justice Initiative.

« Certains sont en train de lutter pour mettre fin à la police telle que nous les connaissons, et d’autres pour l’accès au vote », explique l’organisation. « Ensemble, ces organisations constituent un écosystème vital qui demande justice, et qui est prêt à exploiter l’extraordinaire énergie d’aujourd’hui et à faire en sorte que cela se traduise par des réformes significatives. » « Il est temps pour une action urgente et hardie pour affronter l’injustice raciale aux États-Unis », a déclaré Alex Soros, vice-président de l’Open Society et fils du financier d’origine hongroise. « Ces investissements permettront à des dirigeants confirmés de la communauté afro-américaine de remodeler la police, de mettre fin à l’incarcération de masse et d’éliminer les obstacles aux opportunités qui sont à l’origine de l’inégalité depuis trop longtemps. » L’Open Society ira directement soutenir les jeunes militants antiracistes. « Un autre ensemble d’investissements, explique l’organisation mondialiste, ira pour soutenir l’engagement civique des jeunes, dont beaucoup se sont engagés pour la première fois dans l’activisme en réponse à cet extraordinaire moment politique dans l’histoire de notre pays. »

L’Afro-américaine Candace Owens, l’une des plus actives des Blacks for Trump, a accusé Soros d’avoir payé 33 millions de dollars aux Black Lives Matter. En effet, l’Open Society a fait une série de dons à des entités qui collaborent avec le mouvement BLM dans le monde, notamment les British Release Leads, qui en 2018 ont reçu 280 000 $. L’actuel président de l’OSF, l’Afro-américain Patrick Gaspard, ancien chef de cabinet de Barack Obama à la Maison Blanche, est aussi un membre important du parti démocratique américain.

L’été dernier, Soros, qui avait investi plusieurs millions de dollars pour soutenir Hillary Clinton en 2016, s’est à nouveau rangé en faveur du Parti démocrate américain et a fondé, selon Politico, Democracy Pac, qui fera office de « hub » pour ses dépenses électorales en vue de 2020 et s’activera contre la réélection de Donald Trump. Aux États-Unis, le PAC – acronyme de Political action Committee – est un comité qui recueille des fonds pour faire des dons pour soutenir les candidats aux élections. Les PAC les plus importants sont ceux créés pour soutenir le candidat à la présidence des États-Unis. Soros a investi 5,1 millions de dollars dans le Democracy Pac en 2019, selon des documents déposés auprès de la Commission électorale fédérale. 

Quand on sait que l’argent du financier mondialiste et immigrationniste est aussi derrière les manifestations des Black Lives Matter de ces dernières semaines qui déstabilisent les Etats-Unis dans le but de faire chuter Donald Trump, on conçoit à quel point Soros est un ennemi acharné de l’actuel locataire de la Maison Blanche et ami de la révolution arc-en-ciel.

Francesca de Villasmundo

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