Dans le silence général de l’Union Européenne, Merkel, en employant des méthodes des plus critiquables, renvoie en Italie les migrants « dublinants », c’est-à-dire ces clandestins qui ont présenté leur demande de protection internationale sur le sol où ils ont posé en premier les pieds, l’Italie.
Les manières utilisées par Berlin ne sont pas des plus compatibles avec l’humanitarisme dont le gouvernement de l’ange noir allemand se gargarise. Certains clandestins ont raconté que les policiers allemands les ont jetés à terre pour les menotter et ensuite drogués avant de les mettre sur un vol pour Rome. Raphael Reichel, responsable d’une association de défense des migrants en Allemagne confirme :
« Oui, il y a des probables sédations pour empêcher qu’ils ne s’enfuient ou qu’ils ne se rebellent face à leur transfert. Et pas seulement en Allemagne : il y a deux mois un réfugié afghan en provenance de Lyon est arrivé étourdi à Munich. »
Même si ces témoignages larmoyants sont à prendre avec des pincettes, ils font désordre !
En somme Berlin, mais aussi Paris, se défont des clandestins sans trop faire de compliments et en usant de manières fortes, et en parfaite contradiction avec les leçons d’altruisme professées par Macron ou Merkel et adressées en Europe aux gouvernements anti-immigration.
La réalité de l’invasion migratoire est un problème qu’il faut régler, même si c’est en catimini…
Francesca de Villasmundo
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