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Sermon du RP Marie-Bonaventure, ofm – La Règle du Tiers-Ordre, simple et accessible – Dimanche 28 avril 2024

Un Ordre de l’Église catholique, à part

entière : avec une règle, un habit, des supérieurs

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.

Mon Révérend Père, chers Pères et Frères, chers fidèles,

C’est aujourd’hui l’anniversaire du rappel à Dieu du bienheureux Luchesio qui est le premier tertiaire franciscain, mort en 1260. Cet homme était un marchand, semble-t-il avare, qui sur ses 40 ans, découvrant la prédication de Saint François s’est complètement converti et a demandé à suivre la vie de Saint François. Saint François avait déjà ce projet dans son esprit et il a profité de son désir pour lui donner l’habit franciscain avec une règle particulière. Et lui et son épouse ont été les prémices de cet ordre qui a porté de si beaux fruits. Lui qui était porté à la critique, aux divisions, se fit un apôtre de la paix, de la concorde, et a passé sa vie dans les actions de bienfaisance.

Et je voudrais en profiter pour vous parler spécialement du Tiers-Ordre, de façon un petit peu pratique, concrète, pour que ceux qui ne connaissent pas encore puissent se rendre compte que c’est à leur portée, et aussi l’estimer. Même s’ils pensent ne pas devoir, ne pas pouvoir en faire partie, pourquoi ne pas s’en inspirer dans leur vie chrétienne. Parce que la Règle, qui a été mise à jour par Léon XIII. qui a été résumée. est un code parfait de vie chrétienne et très simple, très accessible.

Saint François avait écrit une première Règle, et puis il y en a eu d’autres qui ont vu le jour. Mais ce résumé qui a été fait du temps de Léon XIII est très bien fait, en quatorze points, comme les quatorze stations du chemin de croix, pour nous montrer que notre vie est aussi un chemin de croix. Il faut suivre Notre-Seigneur, mais avec…je ne dirais pas une facilité, mais une simplicité, qui ne doit pas du tout nous effrayer mais nous encourager au contraire à pratiquer cette règle.

1 – S’engager dans le T.O. F

Tout d’abord, il faut savoir que le Tiers-Ordre, comme son nom l’indique, est vraiment un Ordre de l’Église catholique, à part entière : avec une règle, un habit, des supérieurs, qui a été reconnu de tout temps par les Papes depuis qu’il existe, et très très encouragé par les Papes. Je ne vais pas m’étaler sur leurs encouragements parce que ce serait très très long. Mais c’est la première chose à remarquer. Ensuite, on pourrait dire : « Mais ça n’est pas pour moi, parce que je vais encore m’engager à des choses et je ne vais pas les tenir, et je vais commettre des péchés en plus ! ». Ce sont les mêmes questions que viennent nous poser les petites louvettes, quand elles sont complètement terrorisées de faire leur promesse : « Mon Père, mais je si je ne fais pas, est-ce je vais commettre des péchés ? » Non en fait quand on fait une promesse de cet ordre-là, on dit que cette promesse (comme celle du Tiers-Ordre) n’engage pas sous peine de péché. Ça ne veut pas dire que cet engagement ne sert à rien. Ça veut dire qu’on veut affermir notre volonté dans le bien en suivant cette Règle, on veut diriger notre vie en suivant cette Règle et qu’on accepte d’être corrigé, d’être redressé, d’être soutenu par ceux qui ont la charge de nous corriger. Donc on accepte de se soumettre à la correction finalement. Et c’est Saint François lui-même qui, dans sa Règle, dit : « Voilà, il n’y a pas de péché », mais ces termes n’ont pas été repris par Léon XIII ; mais Saint François disait : « Par contre, celui qui opiniâtrement refuse de se corriger quand il a été corrigé, là il pourrait commettre un péché. »

Mais comme vous allez le voir, la Règle franciscaine du Tiers-Ordre n’est qu’un rappel de ce que tout chrétien doit pratiquer. Alors outre les conditions d’admission, la Règle du Tiers-Ordre est très courte. Elle pourrait tenir sur une page A4. Il y a trois paragraphes. Le premier paragraphe c’est un petit peu les conditions d’admission :  il faut avoir quinze ans au moins ; donc les enfants, les jeunes, les adolescents qui se sentent appelés peuvent dire à papa et maman : « Je voudrais bien être tertiaire » parce que l’Église leur propose déjà, à quinze ans, de devenir tertiaire. Et puis ce premier chapitre nous dit qu’on porte un cordon, un scapulaire ; ce sont des choses qu’on connaît, et ce sont des bénédictions, les sacramentaux de l’Église. Le symbolisme du cordon est très beau, nous sommes liés à Notre Seigneur qui a été lié pour nous. Ça nous rappelle aussi le devoir de la vertu de chasteté et beaucoup d’autres symboles très beaux. Mais je veux plutôt vous parler de ce deuxième paragraphe qui est le cœur de la règle et que tout le monde pourrait prendre, par exemple, dans ses retraites ou le soir dans ses prières à l’examen de conscience. Si vous n’avez pas d’idée, prenez ce deuxième chapitre de la règle du Tiers-Ordre et vous verrez que vous trouverez des points qui vous aideront peut-être à progresser. Et les voici. Voici ce code de vie chrétienne qui est franciscain, mais qui est pour tout le monde.

2 – La Règle : modestie et tempérance

Les deux premiers points commencent par nous rappeler la modestie. Ils demandent la modestie dans l’habillement selon sa condition. C’est vrai qu’à l’époque, ils étaient habillés de façon plus austère. Saint François demande que les dames ne portent pas de rubans de soie de couleur. Mais aujourd’hui, ce ne sont pas les mêmes consignes, il faut adapter. Voilà, c’est la modestie chrétienne tout simplement qu’on vous rappelle très souvent, peut-être trop souvent. Et puis la fuite des spectacles immoraux, et là aujourd’hui, c’est la fuite de tous ces moyens modernes, malheureusement, qui peuvent nous porter au péché. Ça fait aussi partie de la modestie de se protéger dans ce domaine.

Ensuite, la tempérance. On demande à table d’être frugal, c’est-à-dire manger suffisamment mais de façon modérée et de ne pas oublier la prière et aussi de ne pas oublier deux jeûnes :  à la Veille de l’Immaculée et de Saint François, en plus des jeûnes du mercredi et du vendredi, du mercredi des cendres et du Vendredi Saint. Les tertiaires ont quatre jeûnes dans l’année, c’est terrible ! Sachant qu’à l’époque, il y avait la pratique du jeûne pendant tout le Carême, là, les tertiaires sont obligés à quatre jours. C’est vraiment incroyable ! Mais en fait finalement la Règle exhorte aussi, elle conseille ceux qui le peuvent à jeûner aussi le vendredi, en plus de l’abstinence et à faire abstinence le mercredi, voilà. Ce sont des pratiques qui peuvent obtenir beaucoup de bénédictions et aussi de grâces de réparation dans ce siècle où nous ne faisons plus pénitence.

3 – La Règle : religion

Donc, après la modestie et la tempérance, la Règle demande la vertu de religion en se confessant et en communiant une fois par mois. Mais c’est un conseil que tout prêtre donne aux fidèles. Dans les chapelles, tout le monde est capable et surtout aura intérêt à suivre cette Règle de se confesser et de communier une fois par mois au moins. Puis la Règle demande de dire l’Office canonial : c’est certainement le plus grand honneur qui est fait au tertiaire, de se joindre à la prière publique de l’Église. Vous savez que les Sous-Diacres ont le devoir de dire le Bréviaire. Ils sont vraiment, les premiers, chargés de la prière officielle devant le bon Dieu au nom du peuple chrétien. Eh bien, les tertiaires ont une participation à ce devoir et à cet honneur. Et s’ils ne peuvent pas réciter tout l’Office comme ils y sont invités, ils peuvent réciter le Petit Office de la Sainte Vierge ou douze « Pater, Ave ». Donc ces douze « Notre Père, Je vous salue Marie » ont une force spéciale, puisque c’est une prière officielle qui vous rend des membres priants de la prière publique de l’Église. Et donc certainement, si vous mettez vos intentions dans ces 12 « Pater Ave », vous pouvez obtenir plus de grâces que dans vos autres prières. C’est une prière officielle.

Ensuite on arrive au cœur de la Règle (vous trouverez un petit tract aussi à l’entrée, j’en ai remis certains sous le Padre Pio, mais il ne vous le donne pas dans l’ordre tel que Léon XIII l’a écrit. La Règle a été écrite du temps de Léon XIII, c’est mieux écrit certainement dans la règle originale, on voit mieux l’ordre logique de la règle).

4 – La Règle : prudence et charité

On passe ensuite à la prudence et la charité. On peut dire que toute la règle est faite pour pratiquer ces quatre points, spécialement ; en fait trois, parce que le premier, c’est de faire son testament spirituel, son testament tout court. Parce que souvent, ce sont des causes de dissension dans les familles quand on ne fait pas son testament, c’est un devoir de charité pour sa famille.

Et le point suivant, demande le bon exemple, en famille, la piété, les bonnes œuvres, c’est le cœur de notre religion. Et spécialement, dit la Règle, d’interdire tout livre ou journal qui peut porter quelque atteinte à la vertu. Donc aujourd’hui, spécialement les Tertiaires, c’est un rappel pour eux, mais finalement pour tout parent chrétien, interdire tout ce qui peut porter quelque atteinte à la vertu, ça veut dire certainement avoir des règles fixes, précises, pour nos enfants, pour nos jeunes, pour ce qui concerne les portables et l’ordinateur à la maison. Par exemple, à partir d’une certaine heure, il n’est pas question qu’on soit connecté ou qu’on ait un téléphone portable dans sa chambre. Par exemple, ce serait bien que tout le monde mette son portable à un endroit, sur la table de la cuisine, dans un placard (encore mieux) fermé à partir d’une heure fixée par le papa, par exemple à 21 heures. Il n’y a pas de raison quand on est tard le soir, d’avoir son portable allumé, sauf pour perdre son sommeil, sa santé ou son âme.

Après la charité en famille, la charité et bienveillance envers les membres du Tiers-Ordre, en cherchant à apaiser les discordes. C’est dans l’histoire de Saint François, dans l’histoire du Tiers-Ordre aussi. C’est délicat : ne pas chercher à s’immiscer partout, spécialement en faisant attention à nos paroles. C’est un devoir aussi si l’on peut, de chercher soi-même, en fait, de réfléchir. Si on prend cette feuille pour l’examen de conscience : est-ce que je n’ai pas des antipathies naturelles que je ne combats pas ? Et c’est un travail qu’on doit avoir, nous aussi, en vie religieuse. On n’est pas tous forcément des amis intimes, mais on doit faire des efforts pour supporter ceux avec qui on a le plus de mal. Et c’est comme ça, et seulement comme ça, qu’on a une fraternité chrétienne surnaturelle. Sinon on a un groupe d’amis : « Voilà, moi je ne vais qu’avec ceux que j’aime, je ne vais parler qu’avec ceux qui me plaisent, etc. Ce n’est pas du tout l’esprit chrétien, et donc pas l’esprit franciscain.

Le dixième point : pas de serment sans nécessité, pas de bouffonnerie, de plaisanterie malsaine. Et là dans ce point, la règle du Tiers-Ordre demande un examen spécial tous les jours, enfin le soir, sur l’usage de la langue spécialement. On va vous conseiller de faire un examen sur tout, mais on demande spécialement l’examen de notre langue. Et ça rejoint Saint-Jacques qui nous dit : celui qui ne sait pas contrôler sa langue, finalement, n’a pas de vraie vertu de religion. Cet usage difficile de la langue, qui doit être spécialement contrôlé, c’est justement (dans ce contexte de charité) pour toujours pouvoir pratiquer la charité envers les autres. Et le texte il demande aussi de s’imposer une pénitence si on constate des défauts dans ce domaine.

5 – La Règle : fidélité et miséricorde

La fin de la Règle (les quatre derniers points) c’est d’abord la fidélité. La fidélité, si on peut, à la messe quotidienne, et aux réunions mensuelles finalement qui sont toutes centrées autour de la messe. Donc là on a ce lien de la charité autour de l’autel et ce lien de la charité dans les réunions qui sont prévues par le Tiers-Ordre. Malheureusement, même ici, il n’y a pas de réunion mensuelle, mais c’est déjà très bien de pouvoir être présent à ces réunions qui sont organisées au moins tous les deux ou trois mois. Et ça nous rappelle finalement les premières réunions des chrétiens. Durant ces réunions, on pratique (pour les derniers points) la miséricorde et la générosité. La miséricorde matérielle en faisant des collectes pour ceux qui sont dans le besoin, ceux qui sont malades, pour le service du culte. On apprend le détachement et la miséricorde spirituelle, notamment en visitant les malades. C’est surtout le devoir de ceux qui ont une responsabilité dans le Tiers-Ordre. Et j’imagine que vous utilisez les moyens modernes pour vous donner des intentions de prière. Voilà, untel est malade, une telle est malade, il faudrait aller la visiter. Ou untel a des difficultés, il faudrait l’aider. C’est comme ça aussi que dans le Tiers-Ordre on peut se servir, malgré tout, de ces moyens modernes pour rendre pratique notre charité, au moins par la prière. Et donc ils doivent s’assurer ces supérieurs du Tiers-Ordre, que les malades puissent recevoir les derniers sacrements. Et enfin on demande d’aller à leurs obsèques et d’offrir au moins un chapelet, une communion pour les âmes, pour leurs âmes. Et avec cela, c’est toute la dévotion aux âmes du purgatoire qui est rappelée.

6 – La Règle est accessible et graduée

Donc voilà cette Règle, et on ne peut pas dire qu’elle demande des choses extraordinaires. Mais voilà, elle a le mérite d’être écrite, d’être codifiée par l’Église. Et donc celui qui désire s’y engager finalement ne se met pas un fardeau de plus sur les épaules. Au contraire, il reçoit des grâces supplémentaires pour l’accomplir, puisque celui qui s’engage auprès du bon Dieu pour accomplir cette Règle va recevoir les grâces dont il a besoin, donc plus de grâce que les autres, qui n’ont pas fait cette promesse.

Alors je vous encourage beaucoup et bien à vous poser la question, dans une des différentes retraites. J’ai pris des tracts parce que comme chez nous, au couvent, il y a souvent beaucoup de choses affichées, on n’a pas tellement envie de les regarder. Et aussi, comme dans l’esprit de l’Église, tout écrit est précédé par une prédication, quand il n’y a pas de prédication liée à l’écrit, ça ne sert à rien. Et les tracts, finalement, sont décoratifs. Mais juste pour vous rappeler qu’il y a des retraites qui vous permettront de vous poser la question de savoir si vous devez ou non rentrer dans le Tiers-Ordre, parce que peut-être que vous y êtes appelé. Alors, au Trévoux en novembre, début novembre, il reste encore une retraite. Il y en a aussi en septembre à Lourdes, en juillet à Bitche. En juillet, ici, il y a les deux retraites que vous connaissez. Et puis à Notre-Dame du Laus, retraite pèlerinage à ciel ouvert le 19 août pour, toutes ces retraites en général sont mixtes, et puis là, c’est spécialement pour les familles. Vous pourrez éventuellement demander plus d’informations si vous en avez besoin. Mais vraiment, posez-vous la question, car les papes nous disent que c’est par là qu’ils attendent le relèvement de la société ; que c’est une école de perfection, c’est vrai, mais que cette Règle, elle est pour tout chrétien.

Alors évidemment, celui qui dira mais regarde, qu’est-ce que c’est que cette Règle ? On ne demande même pas de faire oraison, ce n’est pas pour moi, ça ne vaut rien ! En fait, dans le Tiers-Ordre bien sûr, il y a plusieurs degrés. Et les Papes nous encouragent, dans une Fraternité bien fournie, à faire des groupes spécialisés. Il va y avoir, le groupe, par exemple, des foyers ou fiancés. Il va y avoir le groupe de ceux qui ont fait des vœux privés, c’était prévu ;  le groupe des malades, les Fraternités sacerdotales, et même les ordres réguliers, comme les Sœurs du Trévoux justement, ce sont des Tertiaires qui font des vœux. Donc il y a tous les degrés possibles de progression dans la perfection, sur cette base que je viens de vous présenter.

7 – Conclusion

Alors, peut-être, il serait bon de nous encourager aussi dans nos chapelles et d’en parler autour de vous. Parce que c’est vrai que vos Pères, certainement, manquent de vertu, manquent de zèle, manquent peut-être d’esprit d’oraison et du coup de zèle pour propager ce Tiers-Ordre.  Mais aussi peut-être qu’ils manquent un peu de nombre dans les Fraternités, pour qu’il y ait des initiatives qui viennent de vous, les fidèles, qui permettent justement les nouvelles initiatives dont l’Église a besoin pour se relever.

Alors terminons avec l’oraison d’aujourd’hui du IV°  dimanche de Pâques. « O Dieu qui donnez à vos fidèles une même volonté » : cette même volonté, ce même esprit qu’on pourra trouver dans une famille franciscaine soudée ; « donnez à votre peuple d’aimer ce que vous commandez » : donc les préceptes que vous nous donnez, donc notre Règle de Tiers-Ordre, qui est le résumé des commandements et de l’Évangile, tout simplement ; « donnez-nous de désirer ce que vous promettez » : donc bien sûr, avant tout le Ciel, désirer la vertu qui nous donnera ce plus grand amour de Dieu, et certainement de désirer une place de choix auprès du Bon Dieu, qui doit regarder certainement d’un œil plus favorable celui qui s’est engagé dans la Règle du Tiers-Ordre, qui doit l’aimer davantage, qui le voit prier dans cette prière officielle de l’Église et faire des efforts, promettre de faire des efforts, comme un enfant qui dit à sa maman, voilà maman : « je te promets, je vais être plus sage, je vais mettre le couvert maintenant, je vais ranger ma chambre, maman, je te promets ». Voilà des choses qui font malgré tout, même si peut-être tout ne sera pas réalisé, que le bon Dieu sera touché par cette promesse ; « afin que parmi les changements du monde, nos cœurs demeurent fixés là où sont les vraies joies » : dans les cœurs de Jésus et Marie, où nous espérons tous, que notre Sauveur nous préparera une place.

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, Ainsi soit-il

Fr Marie-Bonaventure +, ofm

Morgon, dimanche 28 avril 2024, quatrième dimanche après Pâques

Version audio du sermon : 

Antoine de Fleurance

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