Le jeune Sebastian Kurz, chef du Parti populaire autrichien (ÖVP), est pressenti pour devenir le prochain chancelier autrichien. Il négocie en ce moment une coalition gouvernementale avec Heinz-Christian Strache, leader du FPÖ, autre gagnant des récentes élections autrichiennes.
Avant même l’annonce des résultats électoraux, mais plus encore depuis que Sebastian Kurz a émis l’idée d’une coalition avec le FPÖ, les deux hommes sont régulièrement associés aux » heures les plus sombres de l’Histoire « .
La reductio ad Hitlerum fonctionne à plein régime et les médias francophones participent avec zèle à ce travail destiné à faire passer ces deux hommes pour des nouveaux Hitler auprès de l’opinion publique désinformée.
Pourtant, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, les résultats électoraux autrichiens ont été largement salués par plusieurs importantes organisations juives !
Dans un communiqué, Ronald S. Lauder le président du Congrès Juif Mondial a félicité le chef du Parti populaire autrichien (ÖVP), l’actuel ministre des Affaires étrangères Sebastian Kurz, pour sa victoire : « Nous connaissons M. Kurz depuis longtemps. Il est extrêmement capable, et je suis sûr qu’il sera capable de former un gouvernement et de devenir un chef extraverti de ce merveilleux pays ».
La Conférence des Rabbins Européens (CER) présidé par le rabbin Pinchas Goldschmidt a également salué la victoire de Sebastian Kurz lors des élections nationales autrichiennes.
Sebastian Kurz, qui à 31 ans deviendra le plus jeune chef d’Etat européen, avait été accueilli par des rabbins de la Conference of European Rabbis (CER) pour un déjeuner casher il y a un an et demi. Au cours du déjeuner, il avait prononcé un discours dans lequel il s’engageait à lutter contre « l’antisémitisme ».
JSSnews rapporte que le Congrès juif européen, dans un communiqué, a aussi félicité Sebastian Kurz pour sa victoire.
Le journal israélien Haaretz qualifie Sebastian Kurz d’ » ami d’Israël « .
La photo ci-dessous, prise en juin 2013, montre Sebastian Kurz en compagnie de Avigdor Lieberman, président du parti ultra-sioniste Israel Beytenou.
Quant à Heinz-Christian Strache, président du FPÖ, il s’est rendu à Jérusalem l’an dernier et s’est incliné au Mémorial de la Shoah, Yad Vashem. Lors de sa visite, M. Strache avait rencontré des membres du Likoud, la formation de Benyamin Netanyahu.
Bref, une situation qui rappelle celle de l’AfD en Allemagne, elle aussi très ouverte au sionisme et, malgré tout, toujours amalgamée au nazisme par ses adversaires et par les médias du système.
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
J’y vois une certaine logique puisque le Nazisme est un Socialisme comme les autres .
ceci illustre la règle fondamentale de la démocratie moderne:
impossible de détenir la moindre parcelle de pouvoir sans l’ accord de la Synagogue.
si on pose la question à Macron :
qui t’as fait roi ?
il répondra : Attali, Rothschild, Drahi.
Cours pratique de politique juive.
Quel que soit le vainqueur de l’élection dans un pays , quelqu’ injures aient été proférées dans les semaines précédentes contre ce vainqueur; au jour de la victoire et jusqu’à sa chute tu cires les bottes du héros pour t’assurer un avenir meilleur.
Ce qui demande, il faut l’avouer, un sacré sens de la lâcheté et un certain pragmatisme misant à fond sur le vice.
Dis moi qui tu fréquentes et je te dirais qui tu es disait la sagesse populaire.Israel est gouvernée à l’extrême droite il me semble logique que nos heureux élus puissent s’entendrent avec eux .