Cela ne sauvera pas les monuments confédérés, mais cela va permettre au moins de mettre les responsables locaux devant leurs responsabilités et leurs contradictions. Ainsi, alors que le maire de gauche de Seattle a voulu liquider un  mémorial aux soldats Confédérés, la droite américaine l’a forcé à faire de même avec une statue de l’immonde Lénine…

Cette statue de l’inventeur de l’idéologie la plus meurtrière du 20e siècle aurait déjà dû être détruite en 1990. Déboulonnée en Slovaquie lors de la chute de la dictature communiste en 1989 (un an après son érection), expédiée à la voirie, elle fut ramenée de Slovaquie en 1995 par un enseignant américain nostalgique du communisme qui avait même fait hypothéquer sa maison pour importer cette cochonnerie stalinienne en Amérique.

Le maire de Seattle, Edward « Ed » Bernard Patrick Murray  a déclaré le 16 août que :

« Lors de ces derniers jours, les Seattliens ont exprimés leur préoccupation et leur frustration au sujet des symboles de haine, de racisme et de violence qui existent dans notre ville. Ce genre de symboles ne représentent pas seulement des injustices historiques, mais leur existence causent de la douleur à ceux qui, personnellement ou dans leur famille, ont été affectés par ces atrocités. Nous devons retirer ces symboles, peu importe quelle affiliation politique ils avaient lorsqu’ils ont été érigés. Cela inclue à la fois les mémoriaux confédérés et les statues idolâtrant le fondateur du régime autoritaire soviétique. Les deux sont des propriétés privées, mais je crois que le Mémorial Confédéré du Cimetière de Lake View et la statue de Lénine de Fremont doivent être enlevées. ».

Quelques heures plus tôt, une manifestation de patriotes américains de l’Alt-Right avaient manifesté devant cette statue placée dans un terrain appartement à la Chambre de Commerce, demandant son retrait comme « symbole de haine ». On ne peut qu’approuver ce per peri refetur.

Celui qui lança l’opération n’est pas n’importe qui : Jack Posobiec – dont l’origine polonaise le rend assez peu tolérant envers la peste rouge – est en effet connu pour avoir révélé au monde entier l’existence d’un vaste réseau de pédophiles à l’ombre de la Maison Blanche, dont aurait été membre William « Bill » Clinton. Ce réseau, popularisé sous le nom de « Pizzagate », n’est en fait apparemment qu’une branche du réseau « Lolita Express » dont étaient notamment membres Clinton, mais aussi le Duc de York Andrew, Woody Allen et… Roman Polanski.

Ce détail à son importance car Ed Murray n’est pas n’importe qui : c’est un gay, marié à un autre homme depuis 2013 et de plus un gay pédéraste…  Cela va lui couter son siège de maire, car le 9 mai 2017, il fut obligé de se retirer de la course à l’investiture pour la mandature débutant en 2018 à cause des révélations sur ses abus sexuels. En effet, en avril, il fut accusé par Delvonn Heckard, Jeff Simpson et Llyod Anderson d’avoir abusés d’eux alors qu’ils étaient adolescents. En 1984, il avait déjà été accusé par un enquêteur social d’avoir violé son fils adoptif. On comprend que voir le principal pourfendeur des réseaux pédophiles de gauche traîner dans les parages devait l’inquiéter énormément. Alors, si démolir une statue permettait de le faire déguerpir, même si c’est celle de l’icône des antifas…

Hristo XIEP

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