Jusqu’en 1789, la France était organisée en provinces, jusqu’à leur démantèlement par l’Assemblée nationale et la création de divisions administratives départementales. Aujourd’hui le mot « province » désigne un ensemble régional qui conserve une identité culturelle et linguistique. C’était autrefois un territoire d’assez grande étendue dont les habitants se reconnaissaient dans des origines, des moeurs, des langues et des institutions communes, traduites par des statuts, coutumes et privilèges particuliers, différents des provinces voisines.
Au cours de la triste nuit du 4 août 1789, l’Assemblé constituante abolit tous les droits et usages particuliers, les privilèges. Le découpage est uniforme et sera le même pour les différentes fonctions de l’Etat : religieuse, militaire, fiscale, administrative, judiciaire, universitaire…. Bien des richesses des cultures régionales ont été perdues. Cet art de vivre dans un territoire, un sentiment de « pays » des valeurs communes, de pratiques religieuses, des traditions paysannes, un folklore, parfois même des revendications d’autonomie…
Lors des siècles de christianisation, ces « pays » ou terroirs ont été spontanément mis en valeurs par les fondations religieuses : monastères, couvents, abbayes. Robert d’Arbrissel s’arrête en 1099 dans une forêt sauvage, repaire de brigands, avec ses disciples. Les moines défrichent, construisent, et c’est le point de départ de l’abbaye royale de Fontevraud. Saint Bernard repère un vallon ensoleillé en Bourgogne et ce sera Clairvaux, avec l’aide des paysans. En Provence, l’abbaye de Sénanque en son champ de lavande et du Thoronet entre Brignoles et Draguignan. Dans le midi, dans le vallon de Gellone, saint Guilhem fonde en 804, un monastère et devient le saint patron de Montpellier. Saint Bruno de Grenoble… Les saints patrons ont fondé soit un monastère, soit évangélisé un terroir ou encore servi de modèle de vertu à toute une région. Ils sont vénérés, respectés, et priés
Le livre suit peu ou prou le découpage territorial des 22 régions – métropole et Corse- datant d’avant la réforme territoriale de 2015.
Ce livre est tout à la fois instructif et réconfortant. Tant de saint dans nos régions sont à découvrir. Si Claude, Dagobert, Anne, Radegonde… sont des noms connus. On découvrira, avec intérêt et amusement, Agricol, Volusien, Fulcan, Vinoc… qui ont tous des vies incroyables, témoignant de leur foi et de leur attachement à Jésus-Christ.
Pour enfants ce livre ? A partir de 12-13 ans, ils sauront s’en imprégner mais les adultes feront un beau voyage en ces Pays de France et de nombreuses découvertes. Index des saints patrons, de leurs fêtes et une liste des régions rend ce livre pratique. Il est dommage cependant de ne pas y trouver des illustrations en couleurs…
Plus d’informations et commandes sur LIVRES EN FAMILLE
Saints patrons des Pays de France, Mauricette Vial-Andru, éditions Saint-Jude, 16€
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L’ocean viking ne suffisait pas à mac ron il lui faut bmoquer ceux qui veulent passer en angleterre…sinin il aura pas assez d’égorgeurs pur tenir… et il peut compter sur les collabos : police et gendarmerie…
Avec ces bouffons macronistes tout est question d’image
Commençons par rappeler que dans la plupart des pays du monde, l’État actuel est l’État profond, c’est-à-dire une réelle ploutocratie cachée derrière une démocratie « coquille vide ». Ce qui signifie, de manière assez évidente, au moins dans le cas de la France, que E. Macron et toute sa clique représente une simple courroie de transmission des « puissances d’argent », réels donneurs d’ordres, c’est-à-dire des pantins aux ordres oligarchiques.
Concernant l’immigration, et d’après « Lecture Françaises » d’avril 2001, à partir de 1989, le bureau des Nations Unies du Haut-Commissariat pour les réfugiés a été la centrale qui a orchestré les migrations de masse des musulmans nord-africains en Europe et des slaves des pays de l’Est. Ainsi a-t-il été assigné à la France un quota de 24 millions d’émigrants qui en effaceront littéralement le visage et l’histoire. Les États ont même changé leurs lois pour accepter un afflux massif et rarement contrôlé d’extra-communautaires sur leurs territoires.
Maintenant, rappelons également qu’en plus de la loi du 3 janvier 1973 qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et transformera les richesses publiques en richesses privées, on doit à Valery Giscard d’Estaing devenu Président de la République en 1974, une réforme majeure dans le domaine de l’immigration : la mise en place du « regroupement familial ». La politique d’intégration des étrangers transformera à partir de là, le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible », qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs : entre autres, dumping social, apparition et croissance, au sein d’un peuple, de tensions et de divisions ; perte de l’identité ; éradication brutale de la mémoire et de tous ses symboles ; déracinement et errance culturels ; perte des repères linguistiques que sont la grammaire et la syntaxe, donc de la capacité de bien structurer sa pensée si l’ethnie dominante est d’une autre langue ; réduction de la capacité à s’exprimer correctement pour être bien compris et participer pleinement à la vie collective ; ghettoïsation et paupérisation de pans entiers de la population les moins souples à s’adapter, etc.
L’action antiraciste est l’une des sphères d’action du mondialisme.
Petite disgression…
Précisons que, subtilement, pour accompagner la « marche forcée » immigrationniste dans l’Europe tout entière, et en faciliter l’intrusion, la seconde moitié du XXème siècle allait voir la culture américaine, notamment musicale, envahir l’Europe et ouvrir la voie à une pénétration à grande échelle et à un remplacement progressif de la culture européenne par des traditions non européennes. Elle comprenait d’abord de puissants éléments afro-américains tels que le jazz, renforcés ensuite par les traditions afro-caribéennes comme le Reggae puis, grâce à l’afflux de genres afro-américains apparentés, le Rap, le Hip-Hop, etc., faisaient leur apparition. Notons également l’irruption, dans les années 70, du « Raï », genre chanté algérien, mélange d’Arabe, de Rock et de Blues.
Est-il utile de rappeler que le Rock (issu du Blues et du Rythm and Blues noirs), apparu au début des années 1950, a permis l’intrusion, dans notre monde, d’influences négatives, sinistres, liées au sexe, à la violence gratuite, à la drogue (notamment au LSD) aux pulsions les plus basses, et provoquant chez les êtres et par voie de conséquence dans nos sociétés, de graves effets pathologiques aux niveaux physiologique, psychologique et social.
Un extrait d’un texte de John Todd est révélateur d’une connection du Rock avec la basse sorcellerie : « de tout temps, dit-il, la sorcellerie a été pratiquée au son du Beat, qui est identique dans les cultes du Vaudou et dans la musique Rock. Impossible de pratiquer la sorcellerie sans cet accompagnement. ».
Aussi, est-ce un hasard si la Loi sur la sorcellerie (Witchcraft Act 1735) fut abolie en Angleterre en 1951, au moment où naissait le Rock ?
Notons que l’abolition de la Loi sur la sorcellerie rendait licites les expérimentations subversives tendant à renverser les anciennes valeurs pour les remplacer par de nouvelles (sexe, drogue, rock, etc.). Aussi, rappelons que c’est à cette même époque que correspondait le retour d’Aldous Huxley aux États-Unis ainsi que la création du programme « MK-Ultra »…
Ce petit enchaînement, cette rapide disgression était nécessaire pour comprendre certains processus globalistes qui, par la force des choses, doivent permettre de déboucher sur un gouvernement mondial ploutocratique désigné du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
NB : Peter Sutherland (1946-2017) était le représentant spécial du Secrétaire Général des Nations unies pour les migrations internationales, et l’un des principaux promoteurs de l’islamisation en Europe à la fin des années 2000. Rappelons qu’il a également occupé les fonctions de commissaire européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) (1993-1995) et président de Goldman Sachs International (2005-2015). Artisan des grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a aussi été qualifié de « père de la mondialisation » (Sutherland a siégé au comité de direction du groupe Bilderberg jusqu’en mai 2014, a été Président d’honneur de la Commission trilatérale à partir de 2010, et est l’ancien président de la Commission trilatérale « Europe » de 2001 à 2010). Enfin, P. Sutherland a été président de la « prestigieuse » London School of Economics créée en 1894 par la « Fabian Society ». Signalons au passage que Louis Dreyfus, homme de médias et principal financeur de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron et George Soros sont d’anciens élèves de cette école.
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