Sainte-Marie des Bourdonnais est une école dite catholique sous contrat, du diocèse de Versaille. Mais voilà, ici comme ailleurs, la pression en faveur des homosexuels se fait sentir. En effet, une paire d’homosexuels (dont l’un enseigne dans le lycée catholique Saint Jean de Passy…) souhaitent y inscrire un enfant. Et devinez une peu : avec la bénédiction de la direction.
Comme le relève le site Riposte Catholique :
En effet, que répondre aux enfants qui demanderont légitiment à leurs parents pourquoi leur camarade de classe a « deux papas », par exemple quand les élèves doivent apporter une photo de leur famille (au hasard, pour mettre au-dessus du porte-manteau comme c’est le cas dans les petites classes) ? Les parents d’élèves ne souhaitent évidemment pas parler d’homosexualité à leurs enfants de 3 ans à cause d’une décision irresponsable de la directrice d’établissement…
Par ailleurs, qu’arrivera-t-il, lorsque, et c’est inévitable avec la spontanéité sans filtre des enfants de cet âge, cette petite fille sera montrée du doigt par ses camarades ? La direction va-t-elle proposer un « cours de lutte contre l’homophobie » aux élèves ?
Mais visiblement la cohérence entre le titre catholique de l’établissement et les principes de vie sont une histoire ancienne. Et la paire qui inscrit l’enfant, si elle avait eu la moindre cohérence, aurait demandé à l’éducation nationale en phase avec leur mode de vie.
Il y a 3 responsables à cette situation, 3 traitres en somme :
- Mme Isabelle Samie, directrice de Sainte-Marie des Bourdonnais, qui a pris la décision de valider cette inscription, et même d’avantage peut-être…nous vous en dirons plus.
- Emmanuel Vandroux, directeur diocésain, affirmant que le « projet pastoral de l’école ne changerait pas ». Ah bon ? Mais est-ce que M. Vandroux va venir lui même faire un cours de catéchisme conforme à la doctrine de l’Eglise qui affirme que l’acte homosexuel est intrinsèquement désordonné, un péché mortel qui mène droit à l’enfer éternel
- Et surtout l’évêque, Monseigneur Luc Crepy, qui aurait du intervenir avec force dès le départ de cette affaire. On nous dit que les évêques n’ont plus de pouvoir sur l’enseignement catholique, mais quand Mgr Aupetit a voulu virer François-Xavier Clément, directeur du lycée parisien Saint-Jean-de-Passy, il a su trouver le pouvoir qu’il lui fallait !
Nous invitons les lecteurs de MPI a mettre une pression maximum par écrit et par téléphone sur :
Isabelle Samie, directrice, joignable au 01 39 50 19 83 ou à l’adresse suivante saintemarie.desbourdonnais@orange.fr
Emmanuel Vandroux, supérieur direct d’Isabelle Samie qui a appuyé son choix, joignable au 01 30 83 05 05 ou à l’adresse suivante e.vandroux@ddec78.fr
Clémence Legrelle, directrice de la communication du diocèse, joignable au 01 30 97 68 05 ou par mail à clemence.legrelle@catholique78.fr
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