Cette fin d’année ayant été particulièrement riche en matière d’attaques contre la culture chrétienne de notre pays, on aurait pu croire que les extrémistes laïcistes auraient été rassasiés de leurs méfaits jusqu’à l’écœurement.
Grave erreur ! Ce serait sous-estimer l’insatiable appétit des agents laïcistes qui, après l’affaire des crèches qui a fini par se retourner contre eux dans l’opinion publique et maintenant devant certains tribunaux, traquent tout symbole pouvant de près ou de loin rappeler les racines chrétiennes de la France.
C’est du côté de Lille cette fois-ci, dans la commune de Marquette-lez-Lille qui a pour coutume d’organiser tous les ans un passage de Saint Nicolas accompagné du Père Fouettard dans les écoles maternelles de la ville pour y offrir des oranges et des coquilles (sorte de brioche locale en forme d’Enfant-Jésus emmailloté), que les fondamentalistes laïcistes ont commis leur nouveau forfait à l’encontre des enfants et des traditions.
Certains enseignants estimant que ce legs du passé pouvait être incompatible avec le sacro-saint principe de laïcité ont saisi l’inspection académique qui a donné des directives afin d’interdire cette distribution traditionnelle qui fait tant plaisir aux élèves.
L’académie a cependant autorisé le père Noël à remplacer Saint Nicolas.
De toute évidence, aux yeux de l’académie, le gros bonhomme rouge consumériste possède une valeur morale bien supérieure à transmettre aux enfants que celle d’un Saint Nicolas qui avait secrètement aidé un pauvre homme ruiné et ses 3 filles.