Le ministre de la Santé de la Russie Mikhail Murashko a annoncé en juin dernier la création d’un institut pour étudier, sous l’angle psychiatrique, la dysphorie de genre et permettre la guérison des personnes atteintes de ce type de dérives.
« Nous parlons du développement du Centre fédéral de psychiatrie Serbski, dont le programme est en cours d’élaboration. L’Institut étudiera les comportements humains agressifs, l’influence des facteurs environnementaux et génétiques sur les comportements agressifs, ainsi que le développement de modèles comportementaux prédictifs : comportement dépendant, autodestructeur, comportement victime, comportement sous stress, comportement inadapté, comportement désorganisé », a-t-il expliqué.
Depuis le début de la crise diplomatique avec les pays occidentaux suite aux opérations en Ukraine, la Russie se débarrasse peu à peu des relais de la propagande LGBT et des vecteurs de la culture de mort. En décembre dernier, la propagande LGBT a été interdite, la répression de la pédophilie renforcée et le changement de genre interdit à l’état civil. Cette législation a été renforcée depuis par la définition des critères de la propagande LGBT et l’interdiction, le 14 juin dernier, faite aux médecins de faire des opérations de changement de genre, sauf pour corriger des anomalies congénitales de l’assignation sexuelle.
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