Ouest France rapporte que l’Assemblée nationale a adopté mercredi des restrictions du droit du sol à Mayotte. Les députés ont approuvé l’article sénatorial qui exige pour les enfants nés à Mayotte que l’un de ses parents ait, au jour de la naissance, été présent de manière régulière sur le territoire national depuis plus de trois mois.
A l’Assemblée, Ramlati Ali, parlementaire mahoraise, a lancé un appel à réagir à la « situation urgente » du département, « où 74 % des enfants naissent de mère étrangère » après une traversée maritime souvent périlleuse depuis les Comores. Elle a précisé : « La maternité de Mayotte est devenue la première de France, avec 10 000 naissances par an. À ce rythme il faudrait construire une classe par jour alors que déjà les élèves ne peuvent aller à l’école qu’en rotation le matin ou l’après-midi ».
On aimerait que nos députés ne se limitent pas à se préoccuper de la situation migratoire à Mayotte. En ce domaine, la Métropole n’est pas en reste.
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C’est fou ce qu’ils sont indisciplinés ces pays de l’UE à l’Est!
La Slovaquie n’accepte pas de musulmans, faute de mosquées; la Bulgarie surveille ses frontières avec des chars…
Et nous on laisse faire, sans réagir, pour favoriser le remplacement…
Deux poids deux mesures, en Europe?
Je comprends les bulgares ils ont était envahit par les turcs pendant 800 ans!Ils ont pas envie d’être envahit!