Site icon medias-presse.info

Requiem pour une sœur défunte : l’indignation raciale gauchiste à sens unique

L’indignation dans la presse régimiste est à sens unique. On le savait depuis longtemps, mais chaque jour nous donne en donne confirmation. Ainsi, les médias ont écrit des pages et des pages sur quelques cas de bavures (ou présumées telles) policières impliquant des contrevenants noirs et des policiers qui – contrairement au petit concert médiatique – n’étaient pas tous blancs. Par contre, on ne les a pas entendus quand un petit garçon blanc autiste de 6 ans, Jeremy Mardis, a été abattu de 5 balles à Marksville (Louisiane) par deux policiers noirs en novembre 2015.

Brittanee Drexel

Aujourd’hui, plusieurs journaux de gauche extrême s’indignent de la libération d’un jeune athlète américain, Brock Turner, étudiant à l’université de Stanford et accusé de viol par une condisciple, les faits s’étant déroulé lors d’une de ces soirées hautement alcoolisée dont la jeunesse dégénérée à le secret, soirée dont ni lui, ni elle n’eurent souvenir du déroulement exact… Par contre, pas un mot sur la mort horrible d’une jeune fille blanche de 17 ans, Brittanee Drexel, portée disparue à Myrtle Beach (Caroline du Nord) depuis le 25 avril 2009. Acceptant un rendez-vous avec un noir, Da’Shaun Taylor, elle fut enlevée, violée par ce dernier et de nombreux amis de celui-ci, avant d’être réduite en esclavage sexuel et torturée pendant des jours. Une fois lassés d’elle, ses tortionnaires l’ont achevé d’une balle dans la tête avant de la jeter dans un enclos d’alligator où son corps fut dévoré. C’est grâce à Taquan Brown, détenu 25 ans pour meurtre, chauffeur de la voiture qui servit à faire disparaître le corps, que ce mystère put être éclaircit. Cette affaire n’est pas sans rappeler celle de cette petite fille blanche de 11 ans originaire de l’Oregon et qui avait été droguée et prostituée à Vancouver (Canada) par les noirs qui l’avaient enlevée.

En Grande-Bretagne, une autre famille a partagé cette même douleur, celles de Charlène Downes, 14 ans, portée disparue depuis le 1er novembre 2003, la police ne se pressant pas pour résoudre l’enquête, faisant payer à la famille un engagement nationaliste assumé. Comme pour l’affaire des 1400 viols collectifs racistes anti-blancs de Rotherham, c’est la communauté pakistanaise qui est impliquée dans cette affaire. Il est quasiment établi, mais non certain devant la disparition des preuves, que la petite Charlène a subi les mêmes horreurs que Brittanee Drexel, la méthode de disparition du cadavre ayant juste changé. L’un des protagonistes en effet tenait un kebab, vitrine idéal pour cela… Comme quoi, on peut trouver pire qu’une tête de pigeon dans sa pita.

Une fois pour toute, il faut arracher le masque d’hypocrisie des féministes, tout comme des antiracistes d’ailleurs. Le sort des femmes violées ne les intéresse que dans le cas unique où elles peuvent fustiger l’homme blanc et chrétien. Cela a d’ailleurs été parfaitement résumé par Caroline de Haas lors de l’affaire du docteur Thierry Lecoquierre, le fameux toubib havrais qui le 8 décembre 2015 dans les colonnes du Nouvel Obs’ Plus, avait appelé au viol des femmes du Front National. Haas avait protesté, non pas contre l’appel au viol en tant que tel, mais parce que celui-ci servait la propagande du FN ! Conclusion : il y a des viols sans importance. Notamment ceux qui se passent ailleurs, qui vont à rebours de la propagande d’Etat… Rappelons simplement deux statistiques sur le racisme aux Etats-Unis : chaque année, le nombre de femmes noires violées par des blancs oscille entre 2 et 10. Chaque année, le nombre de femmes blanches violées par des noirs oscille aux alentours de… 32.000 ! (fait non seulement occulté mais nié par la presse française) C’était d’ailleurs le mobile principal de la tuerie de l’église noire de Charleston (fief du racisme noir) dont l’auteur voulait attitrer l’attention sur les discriminations raciales dans le traitement médiatique du viol.

Et puisqu’on en est dans les condoléances, présentons les nôtres à la famille de la jeune lycéenne britannique de 16 ans, Phoebe Connob, gymnaste de talent, qui s’est suicidée le 7 juillet après que des photos d’elle postée sur Instagram constituaient un prétexte d’accusation calomnieuse de racisme…

Comme « l’antiracisme » est le vrai nom du « racisme anti-blanc », le féminisme est le vrai nom de la « misandrie ». Quand on analyse « antiracisme », « féminisme », « gender », « idéologie vegan », les branches ramènent au même tronc. Un tronc dont les fruits s’appelaient au siècle dernier Lénine, Staline, Mao, Pol Pot… « Tout est politique », disait Gramsci, et chaque jour le prouve… A nous de ne pas l’oublier.

Un racisme meurtrier, outil du mondialisme et héritage aussi de Voltaire et « des lumières » tant loués par nos « élites » ; une totale opposition au message universel tant décrié de l’Eglise : celui de l’homme créée à l’image de Dieu, qu’ils soient blancs, noirs, jaunes ou verts !

Hristo XIEP

http://www.fdesouche.com/761453-etats-unis-une-jeune-blanche-violee-par-un-gang-de-noirs-qui-lont-ensuite-jetee-aux-alligators http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Etats-Unis-le-calvaire-de-Brittanee-jetee-aux-alligators-1048606

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

Quitter la version mobile