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Relation professeur-élève : « Pour moi, c’est de la pédophilie »

Un professeur de mathématique d’un collège de Seine-et-Marne, âgé de 31 ans, est poursuivi pour avoir entretenu pendant de longs mois une relation avec une de ses élèves de 14 ans. Il est suspendu à titre conservatoire par l’Éducation nationale et sera jugé à la fin du mois de novembre.

Pour la mère de l’enfant, il ne s’agit ni plus ni moins que de pédophilie. Aux micros de RTL elle explique comment le professeur a fourni des téléphones portables à sa fille pour correspondre avec elle. Visiblement très émue, ce qui est bien compréhensible, cette maman demande que justice soit rendue :

« Pour moi, c’est de la pédophilie, tout simplement »

déclare-t-elle.

« C’est un prédateur sexuel, c’est un professeur. Ma fille a 14 ans, je la connais bien. Elle n’a pas du tout la maturité pour sortir avec un homme. C’est une enfant, donc je suis très inquiète pour son avenir, les dégâts psychologiques. Quand on voit ce qu’il a fait d’elle (…) J’ai lu les conversations, il lui a demandé de faire des choses qui ne sont pas de son âge. On voit qu’il s’est servi de votre enfant pour assouvir sa folie. »

Oui, les relations professeur-élève sont bien de l’ordre de la pédophilie comme le souligne cette maman d’une enfant trop confiante envers son professeur

Mais il existe un petit problème aujourd’hui en France : comment condamner ce professeur de mathématique alors que le couple de l’Élysée est dans un cas semblable. L’actuel président de la République Emmanuel Macron n’avait que 15 ans quand il a entamé une relation avec le professeur de français de son lycée d’Amiens, Brigitte Trogneux, épouse Auzière, de 24 ans plus âgée que lui.

La pédophilie sera-t-elle dorénavant protégée par le gouvernement actuel et les tribunaux peuplés de magistrats de gauche ? On peut le craindre, au vu des aberrantes décisions de justice de ces derniers mois dans deux affaires qui impliquent des fillettes de 11 ans dont le viol n’a pas été reconnu par les juges et l’idée de l’actuel ministre de la justice Nicole Belloubet de fixer le consentement sexuel à seulement 13 ans.

Francesca de Villasmundo

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