Mon cher cousin,
J’apprends derechef que le jeune Marc HASSIN s’est transformé en sanglier des Ardennes pour bouter les hordes mahométanes hors des territoires chrétiens du Haut-Karabakh, irrédentiste berceau de la lointaine Arménie. Il a, sans coup férir et sans tergiverser outre mesure, créé et rejoint le Corps Franc des volontaires de l’Artsakh (1).
Vous ne devinerez jamais par quel truchement cette belle et forte nouvelle m’est parvenue ! En effet, et l’on peut dire là sans déchoir que le diable porte pierre, c’est le porte-voix, le complice des islamo-bobo-gauchistes apatrides qui vient de s’écrier en s’étouffant de rage que « Marc de Cacqueray de Valménier, chef du groupuscule d’extrême droite violent (sic), fait savoir qu’il s’est engagé dans les rangs arméniens ».
Oui, cher parent, nous devons bien à Libération, la néo-Pravda lutécienne, ce libelle rafraichissant qui dévoile que notre jeune Marc HASSIN n’est autre que le valeureux Marc de Cacqueray de Valménier et qu’il est parti défendre nos frères arméniens contre l’invasion de l’Azerbaïdjan instrumentalisée par le nouveau calife ottoman du Pont-Euxin.
Comme dans les années 70, où ses prédécesseurs étaient partis se battre au Liban dans les rangs des Phalanges chrétiennes, notre valeureux guerrier a déclaré que « le futur de notre continent et de notre civilisation est en jeu au Haut-Karabakh ».
Le folliculaire de service ajoute, croyant effrayer le Tiers-Etat confiné et donner des sueurs froides au clergé conciliaire, que « pour illustrer son engagement, Marc de Cacqueray de Valménier a diffusé une photo de lui en uniforme avec dans les mains un fusil d’assaut qui pourrait être une Kalachnikov. Sur son buste, deux patchs : un drapeau arménien et une Totenkopf (2) ».
Je pourrais, afin de montrer patte blanche aux lecteurs néo-conservateurs versaillais du poli et consensuel Figaro, dire que « si je soutiens, cependant… / je comprends, mais… / ce serait mieux, si… ». Dussè-je en payer le prix fort, il n’en est pas question, mon cousin ! Je ne marchanderai pas leur tiède aval et leur complaisance avariée contre l’honneur de celui qui a mis sa vie en conformité avec ses convictions les plus profondes.
Le temps des compromis, qu’ils soient de Saint-Cloud ou de Nanterre, est révolu. Le temps des Identitaires est arrivé. Le choc des civilisations est là et il nous contraint, bon gré, mal gré, à agir.
Pour moi, vous le savez mon cousin, la défense de la France, Fille aînée de l’Eglise, passe par celle des chrétiens du monde entier, donc aussi par celle des Arméniens persécutés par la secte mahométane et ses séides. Nos ennemis ont des noms : Erdogan, Soros, Gafas, Etat profond (« Deep state ») et tant d’autres. Aujourd’hui notre honneur a aussi un nom : Marc de Cacqueray de Valménier, jeune combattant de 22 ans. Il est fou, nous aussi ; il est faible devant une force sauvage et brutale, nous aussi ; car « ce qu’il y a de fou dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi pour couvrir de confusion les sages; ce qu’il y a de faible dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi pour confondre les forts; Dieu a choisi ce qui dans le monde est sans considération et sans puissance, ce qui n’est rien, pour réduire au néant ce qui est. »(3)
Comme Marc, et sous la protection du Dieu des armées, faisons fi des demi-mesures ! La république maçonnique et ses complices sont à l’agonie : achevons-les !
Eugène de Rastignac
(1) – Haut-Karabakh ou Artsakh, en forme longue la république d’Artsakh
(2) – L’origine de ce symbole peut être trouvé – entre autres – sur les étendards et fanions de certaines tribus germaniques au début du Moyen Âge. L’explication généralement donnée à cette utilisation est le défi du guerrier germain vis-à-vis de la mort qui peut le frapper au combat.
(2) – 1ère lettre de saint Paul aux Corinthiens, I. 27-28
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