« Les autochtones doivent payer pour les frais de téléphone des réfugiés». Ce message a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux autrichiens. Une demande de l’association Caritas vient étayer cette affirmation.
Caritas est une ONG internationale aux mains de chrétiens de gauche. Elle avait initialement pour but de venir en aide aux victimes de catastrophes naturelles et aux pauvres. Aujourd’hui, ses différentes antennes en Europe se consacrent quasi exclusivement aux « migrants ».
En Autriche, Caritas a demandé au gouvernement d’attribuer une subvention pour payer les frais de téléphone des demandeurs d’asile.
D’ores et déjà, Caritas et certaines compagnies téléphoniques travaillent ensemble pour gérer les dossiers des immigrés auxquels est attribuée une allocation mensuelle pour frais de téléphone d’un montant de douze euros TVA incluse. Mais au final, qui paye cette facture mensuelle de douze euros par immigré ? Pas la compagnie de téléphone, mais le ministère autrichien des transports, de l’Innovation et de la Technologie (BMVIT). Autant dire que ce sont les contribuables autrichiens qui payent les factures téléphoniques des immigrés illégaux qui affluent pour demander l’asile en Autriche.
Le ministre fédéral des Transports, de l’Innovation et de la technologie dispose d’un budget annuel de plus de 54 millions d’euros pour de telles subventions téléphoniques.
Mais 15 questions parlementaires ont déjà été posées au ministre des Finances autrichien à propos des frais téléphoniques des demandeurs d’asile.
Certains bien-pensants vont jusqu’à prétendre que ces immigrés devraient avoir droit gratuitement à un nouveau téléphone mobile. La société Telekom Austria se frotte les mains et propose quelques idées de forfaits pouvant grimper annuellement jusqu’à 700 € par « réfugié ».
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