Mohamed AMRA décrit par Libération : « Dans tous les médias
s’est affiché le visage poupin du trentenaire d’1,85 m » (sic)
Sans risque d’être traîné devant les tribunaux pour « haine xénophobe » ou « amalgame nauséabond » ou « complotisme d’extrême-droite« , MPI offre à votre sagacité quelques noms qui n’ont – bien sûr – rien à voir avec l’immigration subversive que nous subissons.
Voici donc la liste des délinquants pour lesquels l’Organisation internationale de police criminelle, Interpol, a émis une notice rouge :
– Mohamed Amra, 30 ans : né le 10 mars 1994 à Rouen. Il est surnommé « La Mouche », mais aussi « Yanis », « Momo » ou « Schtroumpf ». De ses 11 à ses 14 ans, il est mis en cause à 19 reprises pour des faits de « port d’arme prohibée, vol par ruse, extorsion, violences, trafic de stupéfiants, association de malfaiteurs… ». Systématiquement, les affaires sont classées sans suite et il n’échoie de sa première condamnation qu’à l’âge de 15 ans, en octobre 2009.
– Mamadou Sakho, 29 ans : Né en avril 1995, cet individu est recherché pour violence sur personne dépositaire de l’autorité publique (PDAP) sans incapacité, refus, par le conducteur d’un véhicule, d’obtempérer à une sommation de s’arrêter et conduite d’un véhicule à une vitesse excessive eu égard aux circonstances.
– Badiss Mohamed Bajjou, 23 ans : Cet homme est accusé d’extorsion en bande organisée commise avec une arme, participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un crime, arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire d’otage pour obtenir l’exécution d’un ordre ou d’une condition, commis en bande organisée et blanchiment en bande organisée de biens ou de fonds provenant d’un crime d’extorsion en bande organisée.
– Kevin Kimuina Kumbi, 35 ans : né en avril 1989 dans le 10e arrondissement de Paris, le trentenaire est accusé de différentes infractions liées au trafic de drogue. Parmi celles-ci, on note la détention non autorisée de stupéfiants en récidive, l’offre ou cession non autorisée de stupéfiants en récidive, le transport non autorisée de stupéfiants en récidive et l’acquisition non autorisée de stupéfiants en récidive.
– Wissem Chibouni, 19 ans : Agé de 19 ans, Wissem Chibouni, originaire de Thonons-les-Bains (Haute-Savoie). Le jeune homme est en effet recherché pour «tentative de meurtre».
– Achref Belguidoum, 19 ans : natif de Bougaa, en Algérie, il est accusé de tentative de meurtre.
– Rachid Maarouk, 56 ans : originaire de Lyon (Rhône), il est accusé de vol avec arme et arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire d’otage pour faciliter un crime ou un délit, suivi de libération avant 7 jours.
– Yaniv Mizrahi, 47 ans : franco-israélien de 47 ans, né en septembre 1976 à Beer Yakov, en Israël, accusé d’escroquerie en bande organisée et blanchiment en bande organisée d’escroqueries commises en bande organisée.
– Mehdi Mimoun Maroc, 29 ans : Mehdi Mimoun Maroc, 29 ans et originaire d’Angers (Maine-et-Loire), est recherché notamment pour recel en bande organisée de bien provenant d’un délit, abus de confiance commis en bande organisée et usage de faux en écriture. Selon Interpol, le jeune homme est aussi accusé d’exécution en bande organisée d’un travail dissimulé.
– Boubakar Magassa, 23 ans : accusé de tentatives de meurtre en bande organisée et association de malfaiteurs criminelle, Babakar Magassa, 23 ans est originaire de la région parisienne (Ivry-sur-Seine).
Une découverte ? Non, puisque déjà en 2021, L’Obs avait publié une autre liste : celle du Top 10 des plus gros trafiquants de drogue de France (1).
Là aussi, les patronymes révélés laissaient peu de doute quant à l’origine des malfrats : Nordine, Rachid, Abdelrani, Younès, Bouchaïb, Nasserdine, Reda, Ali, Messaoud… Tous les prénoms (ou presque) du calendrier islamique y étaient.
Mieux encore, grâce à une étude de l’an 2000, menée par le sociologue Sébastian Roché, professeur à l’IEP de Grenoble, et reprise dans un rapport du Sénat qui attestait de la nette sur-délinquance des jeunes d’origine étrangère, et surtout maghrébine, par rapport à ceux d’origine française, nous pouvions lire ce que le directeur de recherche au CNRS, Hugues Lagrange, affirmait :
« les adolescents éduqués dans des familles du Sahel sont 3 à 4 fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus ».
Oculos habent, et non videbunt, […] aures habent, et non audient [Psaume115] : ils ont des yeux et ne voient pas, ils ont des oreilles et n’entendent pas…
Sources : Boulevard Voltaire / Cnews / L’Obs
Paul DEROGIS
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