Le poids des mots, le choc des photos !
Grâce aux photographies prises par le policiers infiltré sur le bateau de l’ONG Save the Children, la collusion entre certaines ONG humanitaristes et les trafiquants d’êtres humains est patente.
Le bateau pneumatique de la Iuventa récupère une petite embarcation vide ;
le remorque vers la Libye ;
les trafiquants récupèrent le moteur d’un bateau pneumatique rempli de migrants ;
l’agent infiltré note le drapeau libyen sur la Iuventa ;
les passeurs saluent les volontaires de la Iuventa et s’en vont ;
les trois annoncent aux volontaires de la Iuventa l’arrivée d’une embarcation de migrants.
Quand on partage l’avis émis par Alexandre Devecchio, journaliste au Figaro, lors de l’émission 28′ sur Arte consacrée le 24 juillet 2017 à l’hécatombe en Méditerranée que « la Libye est devenu le poumon économique de Daesh » et que « l’argent des passeurs va directement pour acheter des armes pour Daesh, c’est devenu un véritable business » (aller à la 20e minute), on se dit que cette collaboration entre ONG humanitaristes, repères d’activistes idéologues d’une société mondiale multi-ethnique et plurielle, et trafiquants d’êtres humains est vraiment criminelle…
Francesca de Villasmundo
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