Crachons sur Parcours Sup et non sur Stanislas !
Tous les procès faits à « Stanislas » faits depuis la déclaration de la nouvelle ministre de l’éducation d’y scolariser ses enfants et d’avoir menti sur les raisons n’ont pas le sens que la gauche veut lui donner.
Recentrons les problèmes :
Que le ministre de l’Éducation Nationale scolarise ses enfants dans un école privée ne pose pas, en soi, de problème particulier, au nom de la liberté scolaire. Sans compter qu’elle est loin d’être la première de ceux qui nous gouvernent à le faire, tous l’ont fait, le font et le feront !
Même Monsieur Chevènement qui œuvrait soi-disant pour l’élitisme républicain, scolarisait ses enfants dans un établissement privé plutôt chic !
Par contre, où il y a imposture et même trahison, c’est dans le fait que ceux qui nous gouvernent font tout pour empêcher tous les parents de pouvoir choisir comme eux, l’école de leurs enfants.
Pour cela, il suffirait d’attribuer un bon scolaire : ce serait la vraie liberté, ce serait la vraie égalité, celle dont on nous rebat les oreilles pour nous imposer par ailleurs, des choses aberrantes.
« Stanislas », modèle d’excellence
D’autre part, la gauche haineuse en profite pour cracher sur « Stanislas », établissement privé sous contrat catholique, établissement d’élite, qui a maintenu envers et contre tous les vents contraires, la qualité du système éducatif telle qu’elle aurait dû rester dans l’ensemble du système éducatif français.
« Stanislas » est un modèle scolaire, et pour la gauche destructrice de la France française, c’est intolérable, et si toute cette gauche haineuse peut en profiter pour salir cet établissement, pourquoi se priver puisqu’elle ne recule devant rien !
Les prétendues dérives de « Stanislas »
C’est ainsi que, selon « Médiapart », l’établissement serait accusé de « dérives » par un rapport officiel :
Tenez-vous bien :
« Il pourrait – conditionnel – y avoir risque – seulement risque – de conflit d’intérêts ! dans la mesure où il y aurait – toujours au conditionnel – des dérives homophobes, autoritaristes et sexistes ; pratiques non conformes avec la loi ».
Cela fait beaucoup de conditionnels et d’inconnues !
Mais, après une enquête de 2 mois, « ces accusations – qui n’ont aucune matérialité – n’ont pas été retenues par les inspecteurs » rapporte Frédéric Gauthier, directeur de « Stan » et, tant le personnel que les élèves, disent ne pas se reconnaître dans le portrait qui est fait de l’établissement.
Néanmoins, il apparaît que pendant un cours d’instruction religieuse assuré par une personne extérieure à l’établissement, il a été affirmé les choses suivantes :
– « l’avortement, c’est tuer une personne innocente,
– « la contraception chimique est dangereuse,
– « l’homosexualité est une maladie ».
Alors, quelle que soit ce que l’on peut penser de ces affirmations, au nom de la liberté d’expression inscrit en gros-gras dans la déclaration des droits de l’homme dont on nous rebat les oreilles, cela ne devrait pas poser de problème, d’autant que ces affirmations sont plutôt basées sur des données scientifiques et non sur des opinions dont la liberté, néanmoins, figure également en bonne place dans cette même déclaration.
Où sont passées les « valeurs de la république » dont on nous rebat les oreilles ?
Pour ce qui est du contournement de « Parcoursup » par AOC.
De quoi s’agit-il ?
Il faut savoir que « parcoursup » est une procédure d’admission dans l’enseignement supérieur qui a été inventée depuis une dizaine d’années, procédure informatique opaque pour le public mais pas pour les instigateurs.
Le but ?
Initié par les gauchistes qui hantent les arcanes du ministère, le but est de bloquer l’accès à l’enseignement supérieur de prestige à nos brillants élèves pour laisser la place aux élèves issus des « zones sensibles », autrement dit, continuer à pratiquer la « discrimination – dite – positive » au bénéfice des immigrés et au détriment de nos enfants, autrement dit pratiquer la préférence étrangère et aboutir au grand remplacement des élites.
Et c’est ainsi que depuis toutes ces années de mise en œuvre de « parcoursup », nous pouvons déplorer que de brillants élèves soient « laissés sur le carreau » pour l’accès à l’enseignement supérieur de prestige au bénéfice d’élèves aux moyennes médiocres mais « issus de zones urbaines sensibles ».
Qu’en est-il du contournement de « parcoursup » par Amélie Oudéa-Castéra
Que s’est-il passé vraisemblablement pour le fils d’AOC scolarisé à « Stan », comme certainement pour d’autres jeunes également ?
Stanislas porte en son sein des CPGE (classes préparatoires aux grandes écoles) qui peuvent accueillir 350 élèves en 1ère année.
Parmi les lycéens scolarisés à Stan, 80 souhaitent rester dans cet établissement pour intégrer une CPGE.
Lorsque l’établissement a donné un accord favorable au vu du dossier de l’élève présenté au cours du 2nd trimestre, l’élève se rend sur la plate-forme « parcoursup » et ne met qu’un vœu : « Stan », puisque « Stan » a mis un avis favorable.
Logiquement, il devrait être admis de facto à « Stan ».
C’est ce qui se passait lorsque « parcoursup » n’existait pas.
En l’espèce, visiblement, la procédure « parcoursup » a refusé sans motif sérieux l’accès à la CPGE de « Stan » et « Stan » a dû forcer le processus pour qu’il soit admis.
Quoi de plus naturel ?
Il n’y a rien de choquant, à part cette procédure inique ! Procédure dont JP Brighelli, gauchiste confirmé, qui fait une fixation sur les élites françaises, déclare qu’elle est « la seule réforme tout à fait cohérente de ce quinquennat » ! on sait au moins à qui l’on a affaire !
En l’occurrence, dans cette affaire, ce n’est pas sur « Stan » qu’il faut cracher, mais sur ceux qui ont inventé et font perdurer cette procédure suicidaire pour notre élite, procédure initiée par tous ceux qui détestent la France et qui, placés aux poste de commande, nuisent en toute impunité à nos enfants et à la France au nom de la mixité sociale.
Or, comme le fait remarquer Frédéric Gauthier, le directeur de « Stan », 80 élèves veulent rester à « Stan », et la capacité d’accueil est de 350 élèves en 1ère année, :
« il y a largement de la place pour tous les autres élèves qui veulent postuler ; donc, il n’y a pas de délit d’initié, il n’y a pas d’empêchement d’être ouvert à la diversité, à d’autres élèves qui veulent postuler ; d’une certaine manière, personne n’est lésé ».
C’est clair et net. La mixité sociale dont la gauche nous rebat les oreilles, c’est possible.
Mais, parlons-en, de la mixité sociale, Mesdames et Messieurs de la gauche haineuse !
Quod de la mixité sociale ?
Dans les 200 « cités de haute qualité éducative » créées par Blanquer, sont scolarisés un million d’élèves issus de l’immigration (environ 2/3 en primaire, et 1/3 en lycée) étant bien précisé, sans mixité sociale !
Également les 33000 places d’internats d’excellence (1/3 en collèges, 2/3 en lycées) réparties sur l’ensemble du territoire sont réservées aux élèves issus de l’immigration : scolarisation également sans mixité sociale.
Les cordées de la réussite profitent chaque année à 200 000 élèves : il s’agit de partenariats de collèges et de lycées avec des établissements d’enseignement supérieur de prestige réservés aux élèves issus de l’immigration : pas de mixité sociale non plus !
Dans les C.P.E.S ET C.P.I. (classes préparatoires à l’enseignement supérieur et classes préparatoires intégrées) environ 1600 élèves issus de l’immigration y sont scolarisés pour les préparer à l’entrée dans les établissements d’enseignement supérieur de prestige : là encore, pas de mixité sociale.
Cela fait beaucoup ! et encore, ce n’est qu’un échantillonnage ! il y a bien d’autres dispositifs ! (1)
Est-ce que l’on en fait autant pour nos enfants que vous laissez croupir sans vergogne dans les tripots de la république ? Et pourquoi la gauche ne parle-t-elle jamais de ces structures d’excellence réservées aux élèves issus de l’immigration ?
Alors, Mesdames et Messieurs de la gauche haineuse, arrêtez de cracher votre venin et laissez-nous cracher sur vos propos car vous êtes des ennemis de votre propre pays, vous êtes des ennemis de la France, et vous êtes méprisables !
Claude MEUNIER-BERTHELOT, diplômée en droit de l’université Panthéon-Assas, auteur d’une dizaine d’ouvrages à son actif, tous sont consacrés à l’Education nationale et au système éducatif français.
(1) « Cette révolution scolaire qui tue la France »Librairie Française 11.50 € / C’est l’identité française qu’on assassine » Editions Livres en Famille 15.00 €
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