Quantité de commentateurs éclairés le répètent : pour réduire les risques de radicalisation islamiste (là, précisons que c’est nous qui ajoutons le qualificatif « islamiste », parce que le mot est tabou, pas d’amalgame), il faudrait investir dans la prévention dans les quartiers « à risque », faire du « social », développer l’aide à la jeunesse.
Le problème, c’est que les frères Belhoucine, très proches d’Hayat Boumeddiene, s’occupaient justement de la jeunesse de façon tout à fait officielle…
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