Dimanche soir, après l’annonce des résultats du premier tour de l’élection présidentielle, des groupes anarcho-communistes ont appelé à une « nuit des barricades ».

En réalité, ces racailles d’extrême gauche ne cherchaient qu’un prétexte pour susciter des affrontements dans différentes villes.

« Quel que soit le résultat nous ne le reconnaîtrons pas ! », annonçait déjà un « antifa » au milieu d’autres énergumènes rassemblés à la Bastille avant même l’annonce des premières estimations.

Quelques instants plus tard, une petite centaine de manifestants anarcho-communistes masqués ont créé des premiers incidents place de la République. Certains ont brûlé leur carte d’électeur aux cris de « ni Marine, ni Macron« .

Des heurts ont également été signalés à Bordeaux, Rennes et Nantes.

La stratégie de la tension se met en place.

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