En France, parmi les va-t-en-guerre en Syrie, on trouve toujours le même fauteur de guerres et de «fake news », l’inénarrable Bernard-Henri Levy, responsable de centaines de milliers de morts avec les attaques occidentales qu’il a encouragées en Libye, en Serbie, en Irak… Qui lundi soir 9 avril, appelait à l’engagement contre la Syrie : «
« Maintenant il n’est jamais trop tard, il ne faut pas se décourager. Il vaut mieux tard que pas du tout. Il faut arrêter Bachar Al-Assad, interdire ses avions de décoller. Les dictateurs ne sont forts que de nos faiblesses. Ils se nourrissent des faiblesses des démocraties. Si Donald Trump se réveillait, Bachar Al-Assad ne ferait pas cinq minutes. »
Et notre président de la République que l’on voit ci-dessous en bonne compagnie : dans une position de soumission au prince héritier Mohammed Ben Salmane d‘Arabie saoudite, ennemi puissant de la Syrie et ami d’Israël…
En novembre 2017, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane avait retenu le PM libanais Saad Hariri en Arabie saoudite avant de le contraindre à démissionner.
Jouant les bons offices, Macron s’expose ajd’hui entre l’ex)détenu et l’(ex)geôlier.
L’Orient est tjrs compliqué. pic.twitter.com/OLrCSUxEVy— Karim Ouchikh (@OuchikhKarim) 11 avril 2018
Francesca de Villasmundo
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