Les autorités du Royaume-Uni, à force de vivre dans la peur de déplaire au politiquement correct, d’être traitées de racistes, n’en finissent plus de s’enliser dans la fange du pire scandale sexuel et raciste qu’ait jamais connu le pays.
Dans de nombreuses petites villes anglaises, pendant des décennies et des décennies, un vaste réseau de pédophiles et proxénètes, quasiment tous originaires du Pakistan ou d’Afrique, a semé la frayeur et la désolation parmi les familles ouvrières de Tedford, de Rotherham, Rochdale, Huddersfield, et tant d’autres. Droguées, battues, violées, manipulées et menacées par ces gangs Indo-pakistanais actifs depuis les années 1980, l’enfer pour ces jeunes filles blanches dont certaines n’avaient que 11 ans au début de leur calvaire s’est éternisé sans que la police et les autorités locales n’interviennent : « les policiers avaient peur d’être traités de racistes, aussi ils préféraient laisser tomber » raconte le père d’une des victimes qui ajoute avoir été plus de 200 fois porter plainte au commissariat.
Mais le drame de quelques unes de ces filles devenues femmes aujourd’hui persiste : hier victimes de violences sexuelles couvertes par des autorités craintives, aujourd’hui victimes de la justice britannique, tout aussi lâche que la police et les services sociaux.
L’une d’elles, Sammy Woodhouse, crie sa colère sur twitter. Après avoir été violée quand elle avait quinze ans, elle a eu un petit garçon. Son père ? Arshid Hussain, un des responsables d’un de ces gangs pakistanais qui violaient, exploitaient sexuellement et contraignaient à la prostitution pendant des années ces filles anglaises. Les autorités anglaises admettent aujourd’hui que ce réseau est structuré comme une organisation terroriste, ce qui témoigne de sa dangerosité. Arshid Hussain a été condamné en 2016 à 35 ans de prison. Dans le cadre d’une procédure de placement, les autorités locales ont proposé à cet homme de lui accorder un droit de visite pour qu’il rencontre son fils, sur lequel il n’exerce pas d’autorité parentale, comme le rapporte The Times. Le journal britannique précise que le Conseil de Rotherham « a invité l’agresseur a joué un rôle actif dans le futur de l’enfant » et lui a proposé de recevoir les visites de son fils en prison.
Une décision révoltante contre laquelle la mère de l’enfant s’insurge :
« Cette histoire me concerne, concerne mon enfant, l’homme qui m’a violée et le fait que le conseil de Rotherham lui a proposé de solliciter des droits parentaux sur mon enfant »,
rappelle-t-elle sur Twitter.
« La juridiction de Rotherham lui a offert la possibilité d’obtenir des droits parentaux sur mon enfant, alors même qu’un tribunal l’a condamné à 35 ans de prison et prouvé qu’il était un danger pour moi et pour d’autres enfants. J’ai aussi prouvé qu’il était un danger direct pour mon fils ».
The Times: ‘Jailed rapist given chance to see his victim’s child’.
Rotherham council have offered convicted rapist access to my son.
This is happening all over the UK and must stop! An investigation and change in law is needed. https://t.co/dxSnGt29Is pic.twitter.com/7nJ1jnvJGN
— Sammy Woodhouse (@sammywoodhouse1) 27 novembre 2018
La tyrannie du politiquement correct, avec ses corollaires que sont le multi-culturalisme et le brassage ethnique obligatoires, nouvelles recettes du bonheur futur, est la première responsable et de l’empire et l’emprise, sur le territoire britannique, de cette barbarie indo-pakistanaise nourrie des versets du Coran et de cette initiative judiciaire aberrante, nourrie de la lâcheté des autorités.
Une tyrannie que le petit peuple anglais, frappé si brutalement dans sa chair et ses entrailles, supporte de moins en moins : l’idéologie du « vivre-ensemble », à la lumière de ces scandales sexuels sur fond de crimes racistes, vit peut-être ses derniers moments de gloire en ce Royaume-Uni adepte du melting-pot jusqu’à Buckingham Palace…
Mais cette prise de conscience de la faillite de la société multi-ethnique permettra-t-elle de redresser la situation et de mettre fin au Grand Remplacement, avec ces conséquences terribles, qui menace la Grande-Bretagne tout autant que les autres pays européens ?
Il est vrai que les peuples ont beaucoup de ressources en eux pour ne pas mourir…
Francesca de Villasmundo
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