Le groupe chargé d’élaborer les lignes directrices de l’OMS sur la santé des transgenres comprend plusieurs militants LGBT et des médecins qui tirent un profit financier des interventions auprès des transgenres.
La majorité des membres du GDG, un groupe de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) chargé d’élaborer des lignes directrices pour la « santé » des personnes dites « trans », ont été signalés pour d’importants conflits d’intérêts.
13 des 20 membres du GDG ont été identifiés comme ayant des « conflits d’intérêts significatifs », dont au moins 10 ont des conflits d’intérêts financiers en raison de leur profession. Soit ils pratiquent des interventions (très lucratives) dites de changement de sexe soit ils prescrivent directement des hormones pour les personnes transgenres et des bloqueurs de puberté.
En règle générale, les membres du GDG de l’OMS considèrent que les hormones et les interventions chirurgicales visant à mutiler le corps pour refléter l' »identité de genre » d’une personne constituent une réponse privilégiée à la dysphorie de genre, ce qui suscite de vives inquiétudes quant aux répercussions sur les normes en matière de soins de santé dans les pays du monde entier.
Le fait que l’OMS n’ait pas accordé d’importance aux conflits évidents d’intérêts financiers montre que tout est manipulé. Le règlement de l’OMS stipule pourtant que les « conflits d’intérêts importants » doivent être « gérés » et que « tous les conflits d’intérêts » doivent être « divulgués ».
Mais on a vu avec le dossier Covid à quel point l’OMS n’était pas soucieuse de respecter son propre règlement.
Or, ce sont donc ces personnes qui tirent profit de l’augmentation des transgenres qui sont chargées de définir les lignes directrices de l’OMS sur « la fourniture de soins tenant compte du genre, y compris les hormones ; l’éducation et la formation des travailleurs de la santé à la fourniture de soins tenant compte du genre ; la fourniture de soins de santé aux personnes transgenres et de genre divers qui ont subi des violences interpersonnelles fondées sur leurs besoins » et « les politiques de santé qui soutiennent les soins tenant compte du genre et la reconnaissance légale de l’identité de genre autodéterminée ».
L’OMS présente d’ailleurs les soi-disant « soins aux transgenres » (c’est-à-dire leur transformation chirurgicale) comme un « droit de l’homme ».
L’accent mis par les lignes directrices de l’OMS sur la formation des travailleurs de la santé soulève également des inquiétudes quant aux droits des médecins et autres prestataires de soins de santé qui s’opposent aux procédures d’affirmation du genre pour des raisons de conscience.
Conséquences dramatiques irréversibles
Il faut rappeler que les interventions dites « d’affirmation du genre » que les membres du GDG de l’OMS préconisent, à savoir des hormones et des interventions chirurgicales qui nuisent à des fonctions corporelles par ailleurs saines, sont sujettes à des complications graves et récurrentes.
Les effets néfastes des médicaments et des chirurgies transgenres sont fermement établis par des experts médicaux américains accrédités, par des agences médicales européennes et par les témoignages de personnes sur lesquelles ces chirurgies ont été réalisées et qui ont exprimé un regret d’avoir mutilé leur corps.
Pour ne citer qu’un exemple, « Scott » Newgent, une femme qui s’est faite opérer pour prendre l’apparence d’un homme, a témoigné qu’elle a énormément souffert après sa « transition ». Elle a eu ensuite une embolie pulmonaire, une crise cardiaque provoquée par le stress, une septicémie, une infection récurrente de 17 mois, nécessitant 16 séries d’antibiotiques et trois semaines d’antibiotiques quotidiens par voie intraveineuse, puis une chirurgie reconstructive du bras. Elle a des lésions pulmonaires, cardiaques et vésicales, et souffre d’insomnies et d’hallucinations. Tout cela lui a couté 1 million de dollars de frais médicaux, ce qui a entraîné la perte de sa maison, de sa voiture et de son emploi.
Mais ces préjudices ne sont pas mentionnés par les cliniques spécialisées dans les questions de genre et par l’ensemble des établissements médicaux qui tirent profit de ce qui est devenu une industrie de la « transition » de genre qui pèse plusieurs milliards de dollars.
Focus sur dix « experts » de l’OMS
. Cianán Russell est conseiller politique principal au sein de l’organisation ILGA Europe, un lobby LGBT ;
. Gail Knudson, dont la pratique « consiste en grande partie à approuver des patients pour des soins affirmant le genre », « reçoit des honoraires annuels pour son travail avec l’ILGA Europe » ;
. Walter Bockting, dont la pratique clinique est « axée sur la fourniture d’hormones de transition de genre » ;
. Walter Bouman, dont la pratique clinique inclut la fourniture d’hormones de transition de genre ;
. Elma de Vries, fournit des « soins de transition de genre » à l’hôpital Groote Schuur ;
. Erika Castellanos, est directrice exécutive de GATE (Global Action for Trans Equality) ;
. Zakaria Nasser, est employé par l’organisation d’activisme transsexuel Quorras ;
. Eszter Kismödiqui contribue à la « reclassification de l’expression du genre et d’autres questions liées à la sexualité dans le cadre du processus de la CIM 11 (Classification internationale des maladies) de l’OMS » ;
. Alicia Krügerqui travaille en tant que Consultant pharmaceutique, notamment pour la Commission européenne, au sujet des soins pharmaceutiques pour « la population LGBTQIAPN+ » ;
. Chris McLachlan, dont la pratique clinique inclut la prescription d’hormones de transition de genre et les chirurgies « trans » dans le cadre des « soins ».
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