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pergaud

Bernard Piccoli, instituteur, est le président de l’Association des Amis de Louis Pergaud.

Le nom de Louis Pergaud (1882-1915) n’évoquera quelque chose que parmi les lecteurs les plus érudits. Pourtant, quasiment chacun connait au moins l’une des œuvres de Louis Pergaud, à savoir La Guerre des boutons, roman de jeunesse désopilant.

Ce livre a le mérite de sortir de l’ombre cet auteur quelque peu oublié, petit instituteur qui connut le succès, de son vivant, avec le livre De Goupil à Margot qui reçut le prix Goncourt en 1910. Dans un premier temps, ses personnages fétiches sont des animaux. La Guerre des boutons, publié en 1913, est son premier récit dont les héros sont humains. Hélas, la première guerre mondiale vient écourter l’existence de Louis Pergaud. Le 3 août 1914, l’écrivain part pour Verdun où il est incorporé au 166e régiment d’Infanterie. Le 8 avril 1915, il trouve la mort au cours de l’attaque de la côte 233 de Marcheville, dans la Meuse.

Pergaud, Bernard Piccoli, éditions Pardès, collection Qui suis-je ?, 128 pages, 12 euros

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1 Commentaire
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gaudete
gaudete
il y a 3 mois

Pourquoi arrêter ce trafic puisque certaines des plus hautes autorités de l’état suivez mon regard sniffe de la coke ou autre chose. Ils ne vont pas scier la branche sur laquelleils sont assis. Ce serait simple la légion étrangère dans tous ces beaux quartiers avec ordre de nettoyer comme il faut mais pour ça il faut en avoir entre les jambes et ce n’est pas le vieux Barnier entouré d’une clique de macronistes à moitié invertis et de LR cacochymes à genous devant la bien pensance de gauche qui vont faire quoi que ce soit. On n’est pas au Salvador, on n’a pas un président qui pacifie son pays bien au contraire on a une marionette qui fait ainsi font font

Fracasse
Fracasse
il y a 3 mois

Le problème est le suivant: on fait croire qu’il existe des drogues douces et des drogues dures, or le processus d’avachissement et d’ahurissement est le même. Ici le rôle des parents est primordial avec un objectif réalisable au vu de la complicité des pouvoirs publics: boycotter les dealers, leur mener une guerre économique.

Roche
Roche
il y a 3 mois
Répondre  Fracasse

Plutôt éliminer physiquement trafiquants et consommateurs : sans consommateur, pas de trafiquant. Non ?

BUSSOTTI Marc Antoine
BUSSOTTI Marc Antoine
il y a 3 mois
Répondre  Roche

Préparez vous à tuer des millions de personnes alors…