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Pendant que des renégats partent assassiner pour l’EI, le FN pousuit sa course en tête des sondages

Un jeune Toulousain, parmi ceux qui furent encouragés par le gouvernement français à faire le djihad, est allé se faire sauter en Irak dans le but de tuer le maximum d’Irakiens. Ce misérable renégat, ce terroriste et cet assassin islamiste, avait brûlé son passeport français dans une vidéo. Son père et son frère, interrogés, étaient en liaison avec lui jusqu’au jour de son attentat terroriste. Son frère fait part de sa fascination pour la violence. Cette famille vivait dans une de ces cités où les jeunes influençables, avec des références identitaires détruites, peut-être aussi des familles brisées ou inexistantes, en arrivent à trahir leur pays et leurs ancêtres avec les valeurs traditionnelles de la civilisation chrétienne de la France. 

Sans rien excuser de leurs crimes ni de leur trahison, ils ne sont pas aidés par les circonstances, ni par l’exemple des autorités de la République, force est de le reconnaître:

« Deux hommes présentés comme français par l’Etat islamique auraient mené pour le compte du groupe terroriste des attentats contre des casernes de milices sunnites et chiites près de la ville d’Haditha, dans l’ouest de l’Irak. », « L’un d’entre eux désigné comme « Abou Maryam » serait Kevin Chassin, un jeune Toulousain, qui après s’être converti à l’islam, s’est radicalisé jusqu’à partir rejoindre les rangs de l’Etat islamique. »  (Source)

Les Français réclament un retour à la nation

Pendant ce temps, malgré la crise interne qu’il vient de traverser, le Front national continue de caracoler en tête dans les sondages, ce qui montre qu’heureusement les renégats sont des cas exceptionnels. En dépit de la diabolisation persistante, les Français émettent, du moins au premier tour, le souhait d’élire la candidate qui, à leurs yeux, défend le mieux la nation  :

Selon un sondage Odoxa pour Le Parisien, si le premier tour de l’élection présidentielle avait lieu dimanche, avec le même nombre de candidats qu’en 2012, Marine Le Pen arriverait en tête avec plus de 30% des voix, au premier tour, Nicolas Sarkozy 25% et François Hollande 17%. Si Alain Juppé était candidat, il arriverait en tête au premier tour avec 34%, devant Marine Le Pen 31% et François Hollande 16%. Dans tous les cas Marine Le Pen serait présente au second tour, où elle serait battue, ocillant entre 33% et 41%. des voix.

Dans tous les cas envisagés, François Hollande serait battu. Si la présidentielle avait lieu dimanche prochain, Marine Le Pen battrait François Hollande dés le 1er tour et définitivement (même compte tenu des marges d’erreur inhérentes au sondage, de + ou – 5 points).

Quel que soit le cas de figure (une candidature Juppé ou Sarkozy), le président de la République serait éliminé au profit de Marine Le Pen, et du candidat de la droite républicaine au premier tour. Comme Jospin en 2002. Mais la candidate du FN serait battue au second tour par les candidats de droite.  Voir ci-dessous le graphique:

(Source)

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