Accusé d’agressions sexuelles, comme son ami islamo-gauchiste Gérard Miller, l’urgentiste chouchou des médias d’Etat est la nouvelle victime du #MeToo.

D’un seul coup, ses agressions et ses propos sexistes – qui étaient connus de tous au service où il travaillait à l’hôpital Saint-Antoine –  sont subitement dénoncés par ceux-là mêmes qui l’encensaient encore la veille.

CloserMag, le magazine hebdomadaire de la presse people, se sentant subitement investi d’une mission moralisatrice écrit :

– Karine Lacombe a évoqué en novembre 2020 et octobre 2023 des comportements inappropriés de Patrick Pelloux sans le nommer, décrivant des actes pouvant être qualifiés d’agressions sexuelles.
– Le 10 avril 2024, Karine Lacombe a explicitement accusé Pelloux d’agression sexuelle dans un entretien avec Paris Match, soulignant un système médical viril et sexué.
– Patrick Pelloux nie les accusations, tandis qu’Agnès Buzyn et Roselyne Bachelot confirment son comportement problématique, révélant son départ de Saint-Antoine en 2008.

En novembre 2020, dans les colonnes du Monde, Karine Lacombe, cheffe des maladies infectieuses de ­l’hôpital Saint-Antoine, avait évoqué le comportement de Patrick Pelloux. « J’ai beaucoup été protégée par ce chef de service exceptionnel. Mais enfin, rétrospectivement, je me dis que j’ai fréquemment observé et subi des actes qui seraient aujourd’hui qualifiés d’agressions sexuelles : une main entre les cuisses, un effleurage de seins, des allusions grivoises. Quand j’y repense… »

Le 31 octobre 2023, dans les colonnes d’Ouest France, toujours sans le nommer, celle-ci avait confié : « Il y a quelques mois, j’ai recroisé un urgentiste dont on sait qu’il est un prédateur sexuel. Il m’a lâché : ‘De toute façon, avec #MeToo, on ne peut plus rien faire’. Cela veut tout dire ». Finalement, c’est sans retenue que Karine Lacombe a pris la parole mercredi 10 avril 2024.

Le coup de grâce est donné par une enquête fouillée de notre confrère Paris Match qui, disons-le clairement, se délecte de pouvoir dire ses quatre vérités à Patrick Pelloux, ce contempteur de tout ce qui peut, de près ou de loin, ressembler à une conviction de droite.

Ce dernier nie en bloc ces accusations malgré les nombreux témoignages de femmes qui dénoncent le « comportement sexiste » et les « agressions sexuelles » dont elles auraient été les victimes.

Patrick Pelloux, l’arrogant arroseur arrosé, a déclaré à propos de Karine Lacombe :  « je vais être obligé de lui coller un procès« .

Ha, quelle est belle  cette France déchristianisée, véritable égérie mondialiste de si belles « valeurs républicaines« .

Paul DEROGIS

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