Le dialogue inter-religieux fait perdre le sens de la réalité. Afin de protéger ce cher islam avec qui le pape François veut dialoguer pour créer un monde plus beau, plus gentil, plus propret, plus ouvert, plus inclusif, plus tout enfin, il s’en fait le défenseur dans le quotidien italien L’Eco di Bergamo :
« Ce sera dans la bouche de tout le monde, mais cette équation [entre terrorisme et islam] est un mensonge et une stupidité »
car, déclare-t-il pour soutenir son affirmation, le rôle le plus important des religions
« est celui de la promotion de la culture de la rencontre, ensemble avec la promotion de la vraie éducation à des comportements de responsabilité afin de prendre soin du créé. »
La religion en général est ravalée au rang d’assistante sociale mondiale ! Et l’islam au rang de religion d’amour qui n’a rien à voir avec le terrorisme islamique ! Telle est la triste réalité de la pensée bergoglienne : poncifs sur poncifs, idées politiquement correctes à la queue leu-leu, déspiritualisation de la religion, naturalisme, anthropocentrisme…
« Dresser des murs, c’est fermer son propre cœur, sceller une tombe. Ce n’est pas une question de générosité ni de solidarité. Ici il y a tellement de choses à faire. Il faut créer une nouvelle culture, une nouvelle mentalité, éduquer les nouvelles générations à penser, et se penser comme une unique famille humaine, une communauté sans frontières. »
Le rêve maçonnique par excellence…
Francesca de Villasmundo
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