Nouveau plaidoyer pour les migrants de la part du pape François, jeudi 13 octobre 2016, lors de l’audience pendant laquelle il a reçu un groupe de pèlerins œcuméniques allemands, composé d’environ mille luthériens et catholiques, à deux semaines de son voyage en Suède pour « commémorer » les 500 ans de la Réforme de Luther.
Nouveau plaidoyer migratoire alors que l’Allemagne est de plus en plus contraire à l’accueil des clandestins. Le boom des mouvements identitaires de droite sont la réponse la plus concrète à la faillite de la politique immigrationniste de l’ange noir des Allemands, la chancelière Merkel. François arrive à la rescousse !
Le pape argentin n’a donc pas hésité, lui qui ne se mêle pas de politique, n’est-ce pas, a donné son avis sur une question éminemment politique puisqu’elle concerne la destinée future, identitaire, civilisationnelle, sécuritaire, religieuse, de toute une nation. Et comme toujours, c’est par des raccourcis à la guimauve, compassionnels et malhonnêtes, qu’il veut toucher la corde sensible de ces interlocuteurs :
« C’est une hypocrisie de se dire chrétien et de chasser les réfugiés. » Et a-t-il continué, il y a « une contradiction en ceux qui veulent défendre le christianisme en Occident et d’autre part sont contre les réfugiés et contre les autres religions. » (sic) !
La contradiction et l’hypocrisie sont en Jorge Maria Bergoglio qui se dit catholique mais prêche que toutes les religions sont louables, qu’il y a plusieurs vérités bonnes et qui s’emploie à convertir le monde à l’idée trompeuse que tous les clandestins qui arrivent en Europe sont tous des gentils « réfugiés » fuyant des persécutions, de bonnes personnes animées des meilleurs intentions possibles, pratiquant des religions si adorables et salutaires, des « chances » pour l’Occident indispensables à sa survie !
Mensonges que tout cela : la réalité des attentats, de l’islamisme radical, des viols et violences commis par ces soi-disant angelots étrangers, de la non-assimilation et non-intégration de ces populations exotiques, pour la plupart musulmane, de la mort des identités et de la civilisation helleno-chrétienne européennes, de la catastrophe économique qui ne consent pas un travail pour tous , le contredit tous les jours. Notre premier prochain est le plus proche de nous et non le plus éloigné comme il voudrait le faire croire à une masse de fidèles décérébrés par 50 ans de modernisme, de progressisme et de dictature gauchiste caviardisée de la pensée !
Mais François refuse de la voir, cette réalité cauchemardesque que les pauvres européens, -mais ces humbles blancs sont-ils de ses amis ?-, vivent quotidiennement dans des monstrueuses banlieues inhumaines, véritables zones de non-droit et de charia, mais aussi dans des petites villes et villages soumis à des flots de clandestins rebelles : dernièrement en Italie plus de 20 réfugiés africains, hôtes d’un trois étoiles aux frais de la princesse italienne ont mis l’hôtel sous terreur parce que l’État ne leur donne pas assez… de loisirs, d’argent, de matérialisme en somme !
Le pasteur des catholiques, devrais-je dire plutôt des chrétiens, tellement il se pose en autorité morale des hérétiques et des schismatiques également, est plongé dans un rêve pseudo-humaniste dont il ne veut pas se réveiller, il est englué dans une pensée correcte pro-immigration, multi-culturelle, multi-ethnique, il vante une humanité fraternelle et unie dans un fourre-tout mondialiste sans plus aucune identité ni nation ni civilisation ni chrétienté ! Pour le plus grand malheur naturel et surnaturel des âmes. C’est à la mort des catholiques et des Européens que travaille François !
« C’est une hypocrisie de se dire chrétien et de chasser », en promouvant l’invasion migratoire, l’identité chrétienne des pays européens !
Francesca de Villasmundo
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