« Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es. » Le pape François a reçu en audience privée deux sulfureux personnages, grands manitous de la politique gauchiste ultra-libérale en tout domaine et de la révolution arc-en-ciel, Bill Clinton, ami intime de Jeffrey Epstein et Alexander Soros, fils de Georges Soros, certainement un des membres les plus malfaisants de l’élite globaliste contemporaine.
Affaire Epstein, Pizzagate, guerre en Lybie, les troubles affaires dans le sillage des Clinton
Après la rencontre la semaine dernière avec l’« artiste » aux œuvres blasphématoires, André Serrano, connu à cause de son immonde « Piss Christ », une photographie d’un crucifix plongé dans un bocal d’urine, l’actuel hôte du Vatican a reçu le sulfureux Bill Clinton, qui fut le 42e président des États-Unis et l’ami de Jeffrey Epstein, le pédophile notoire et accessoirement agent du Mossad, « suicidé » en prison. Les prénoms tant Bill que de sa femme Hillary sont souvent cités dans des affaires scabreuses telles le Pizzagate, l’affaire de trafic d’enfants relié à Epstein et Maxwell, les fausses allégations pour lancer la guerre contre Kadafi en Lybie. Le couple est connu pour avoir promu la révolution arc-en-ciel, véritable haine de la Création divine et de la loi morale naturelle.
Le pape François a donc rencontré mercredi l’ancien président américain Bill Clinton lors d’une audience privée à la résidence papale Casa Santa Marta. La délégation de Clinton comprenait plusieurs Américains membres de l’élite globaliste, dont Alex Soros des Open Society Foundations.
Clinton, qui concentre désormais ses efforts sur la ‘philanthropie’ -une philanthropie qui est synonyme de déconstruction lgbtqi+, de destruction des nations et d’agenda vert totalitaire, et les affaires publiques, s’était rendu en Albanie les 3 et 4 juillet et avait reçu du Premier ministre albanais une médaille de gratitude publique pour son soutien à l’Albanie et pour l’intervention de l’OTAN, totalement arbitraire et meurtrière, dans la guerre du Kosovo.
Soros est le nouveau président des Open Society Foundations, le réseau ultra-progressiste d’associations destinées à détruire l’ordre moral chrétien et les frontières des nations
Soros, fils du financier milliardaire et philanthrope George Soros, a accompagné Clinton en Albanie et au Vatican. Soros est le nouveau président des Open Society Foundations, le réseau ultra-progressiste d’associations destinées à détruire l’ordre moral chrétien et les frontières des nations, fondé par son père. L’Open Society Foundations et ses groupes alignés ont financé des efforts pour légaliser l’avortement en Irlande, en Pologne, au Mexique et dans d’autres pays traditionnellement catholiques. Le réseau Soros a également financé des efforts pour changer les priorités politiques des catholiques américains et pour adopter une législation fortement favorable à l’avortement, comme une mesure de vote du Michigan pour déclarer l’avortement un droit constitutionnel. Ce réseau est également derrière bien des « révolutions » colorées comme l’Euro Maidan dont on mesure la réduite aujourd’hui face à l’hécatombe ukrainienne. Le fondateur des fondations George Soros s’est souvent vanté de ces victoires dans l’avortement et de l’euthanasie, en faveur de l’immigration invasion et des ‘droits’ lgbtqi.
Alex Soros, 37 ans, a déclaré au Wall Street Journal le mois dernier qu’il était « plus politique » que son père et qu’il prévoyait de se concentrer davantage sur la politique intérieure américaine. Le droit de vote et le droit à l’avortement font partie de ses causes. Soros dirige également un comité d’action politique aligné sur les Open Society Foundations appelé Democracy PAC, qui dispose d’environ 125 millions de dollars à dépenser pour la politique intérieure américaine.
Le pape, qui ne semblait pas mal à l’aise avec ses pions du nihilisme de la culture de mort, a offert à Clinton une statue de femme tenant une colombe. Le pontife a déclaré que cela représentait « un travail pour la paix ».
Dans le passé, les évêques américains avaient empêché François de recevoir Clinton
Clinton a donné au pape François « un petit plateau avec le symbole des États-Unis dessus », selon une vidéo publiée sur Twitter par Vatican News. Le bureau de Clinton a déclaré à CNA que le cadeau était un plateau en porcelaine personnalisé portant le sceau présidentiel. L’ancien président a également écrit une note personnelle au pontife.
Le bureau de presse du Saint-Siège dans un courriel du 5 juillet a décrit le rassemblement comme une « audience privée » avec le président Bill Clinton et sa délégation. Il a fourni des photos mais aucune autre information. Clinton a remercié le pape François pour tout ce qu’il a fait pour l’Église et le monde, a déclaré le bureau de Clinton à CNA.
Après la rencontre, le pape François a salué la délégation accompagnant Clinton. Le groupe comprenait le gendre du président Marc Mezvinsky et l’ancien colocataire de Clinton à Oxford, Strobe Talbot, qui a été sous-secrétaire d’État dans l’administration Clinton. L’actuel ambassadeur américain auprès du Saint-Siège, Joe Donnelly, n’était pas présent, a indiqué le bureau de Clinton.
Le journaliste italien Giuseppe Nardi rappelle sur katholisches.info que François avait renoncé à recevoir Bill Clinton dans le passé face aux vives protestations des évêques américains. Pour Georges Soros le Vatican bergoglien n’avait même pas essayé tellement le personnage dérange. « Une audience, officielle ou privée, pour George Soros ou son fils Alexander Soros déclencherait aujourd’hui encore un trop grand tollé », souligne Nardi. C’est pourquoi, Alexander est arrivé au Vatican dans les bagages de Clinton.
« Les oligarques occidentaux les plus influents tels que Soros, Gates, Turner, Buffett, Rockefeller s’achètent une « bonne » presse et gèrent leur image eux-mêmes dans la mesure du possible », explique Nardi mais « ils ne disposent toutefois pas d’une influence absolue et l’opposition à leur comportement de patrons imposés est « par chance » considérable, même en Occident. Si cela ne peut se faire directement, alors faisons-le indirectement, semble-t-on avoir pensé, et on a « parqué » Alexander Soros dans la délégation de Bill Clinton. Cette petite astuce avait été convenue entre les deux parties ».
Le Vatican bergoglien face à de nombreuses critiques tente d’atténuer l’importance de la rencontre
« Le Vatican, continue Nardi, reçoit une liste précise des personnes accompagnantes. Sainte Marthe était au courant et a donné son accord. Ce dont le père avait été privé jusqu’à présent, le fils l’a reçu comme cadeau d’entrée pour sa prise de pouvoir au sein de l’empire Soros, dont le Project Syndicate est l’un des instruments d’influence les plus importants.
« Vatican News, le portail médiatique du Saint-Siège, a tenté d’atténuer les critiques sur l’étrange groupe de visiteurs en soulignant qu’Alexander Soros n’a jamais parlé directement à François lors de l’audience, car le pape a parlé à Bill Clinton, qui était le véritable invité. Pendant le tête-à-tête François-Clinton, Alexander Soros aurait visité des lieux particuliers du Vatican avec les autres membres de la délégation. Soros junior n’aurait rencontré François « que » pour le saluer et prendre quelques photos.
« Le Vatican s’est donc efforcé de minimiser l’affaire vis-à-vis de l’opinion publique, alors qu’en coulisses, des liens se tissent, des contacts se nouent et des accords sont conclus, qui ne sont pas rendus publics. »
Giuseppe Nardi rappelle quelles règles diplomatiques qui éclairent l’importance de cette rencontre privée :
« Les audiences officielles aux chefs d’État font partie du programme obligatoire en raison des usages diplomatiques, le Saint-Siège étant lui-même un sujet de droit international.
« Une audience privée relève en revanche du pouvoir discrétionnaire de Sainte Marthe. En recevant ou en ne recevant pas qui il veut, François signale sa sympathie, sa bienveillance, sa reconnaissance, son accord et aussi son appartenance. »
« Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es » clamait le grand écrivain-poète espagnol Miguel de Cervantès (XVIe). Une observation qui s’applique comme un gant au jésuite en blanc.
Francesca de Villasmundo
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