Alors que la France est à nouveau frappée par une attaque du terrorisme islamique perpétrée par un maghrébin issu de l’immigration, alors que « 80 % de la population française considère qu’il faut stopper ou réguler drastiquement l’immigration » révèlent des généraux français, que les Italiens plébiscitent la politique anti-migratoire de leur ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, que les Allemands manifestent en gilet jaune contre l’immigration, le pape François ne démord pas de son discours immigrophile.
Il en est d’ailleurs convaincu, ainsi que l’énonce le Pacte Mondial sur les migrations de l’ONU, accueillir les migrants constitue un de leur droit auquel les nations ne peuvent déroger. En pleine débat mondial sur cet accord onusien qui suscite de nombreuses controverses, dix ambassadeurs venus présenter leurs lettres de créance au pontife romain ce jeudi 13 décembre ont eu droit à ce message immigrationniste bergoglien :
« Il est essentiel que le respect pour la dignité humaine et pour les droits humains inspire et guide tout effort (déployé) afin d’affronter les graves situations de guerre, les conflits armés, la pauvreté opprimante, les discriminations et inégalités qui affligent notre monde, et qui ont contribué ces dernières années à la crise actuelle des migrations de masse. Aucune solution humanitaire efficace à ce problème ne peut ignorer notre responsabilité morale, avec l’attention due au bien commun, afin d’accueillir, protéger, promouvoir et intégrer ceux qui tapent à nos portes».
« Accueillir et protéger les migrants » devient ainsi, par la voix de Jorge Maria Bergoglio, la nouvelle obligation morale pour tout homme. Au nom de la « vertu » progressiste de solidarité qui, révolutionnairement, fait de l’étranger, du plus éloigné, le premier prochain de tout homme. Ce commandement humanitariste démesuré, ferment de désordre et d’anarchie dans le monde, a détrôné la belle vertu chrétienne de charité. Celle-ci, ordonnant et « restaurant » toute chose dans le Christ et en vue du bien commun, hiérarchisant les prochains, la famille et ensuite les membres d’une même patrie ayant la première place, est facteur d’une certaine paix pour l’humanité. Mais la Rome conciliaire croit plus en la « sagesse » humaine post-moderne qu’en la Sagesse de Dieu…
La déconnexion des « élites globalistes », dont fait partie El papa argentin, des véritables aspirations identitaire et sécuritaire avant d’être économique des peuples européens apparaît de plus en plus criminelle. La ligne de division entre pays réel et pays légal passe aussi au Vatican bergoglien !
Francesca de Villasmundo
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