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Abdelaziz Aouragh vend des jouets sexuels certifiés halal ! Ses affaires sont en plein essor. Après avoir démarré par l’ouverture d’un sex-shop aux Pays-Bas et la vente par internet, cet entrepreneur a annoncé l’ouverture d’une succursale à La Mecque !

« El Asira » est le nom de cette société de vente de « sextoys » halal. Un label halal surprenant quand on pense aux polices de la sharia qui font leur apparition dans différents pays européens pour tenter d’imposer leurs règles dans certains quartiers. Mais Abdelaziz Aouragh affirme que le Coran et les Hadith permettent une « sexualité libérée » pourvu qu’elle soit vécue dans les liens de mariage.

On note cependant que l’ouverture de ce sex-shop halal à La Mecque se fait en coopération avec la société allemande Beate Uhse, empire international de la pornographie.

Beate Uhse, fondatrice de cette chaîne de sex-shop qui porte son nom, est née en 1919 et décédée en 2001. Cette femme atypique avait été incorporée dans la Luftwaffe de l’Allemagne nazie comme pilote d’avion de chasse durant la seconde guerre mondiale.

Après la capitulation de l’Allemagne, Beate Uhse se reconvertit rapidement en pornocrate. Dès 1947, elle vendait par correspondance des préservatifs et des ouvrages pornographiques. A partir de 1960, elle s’impliqua aussi dans la promotion du naturisme. Plus de 2.000 plaintes ont été déposées contre ses activités entre 1962 et 1992. Ce qui ne l’empêche pas de s’enrichir au point que son entreprise fasse son apparition en bourse en 1999.

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Il sera difficile de faire croire que l’enseigne Beate Uhse – associée au sex-shop halal de La Mecque – se limite à la promotion d’une « sexualité libérée » entre personnes mariées...

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4 Commentaires
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Daniel Daflon
Daniel Daflon
il y a 9 années

Il faut virer toute cette pourriture

Elieja
Elieja
il y a 9 années

C’est la crise chez les journalopes aussi ; ils n’ont plus qu’à se mettre sous la main des « acteurs-raclures de pellame… » en recherche de passage à la télé.

Georges-Pierre Tonnelier
il y a 9 années

Il faut ajouter, au sujet de Manuel Abramowicz, qu’il a été reconnu coupable de port public de faux nom par le tribunal correctionnel de Bruxelles en mai 2014… Il s’agit d’un individu dont les méthodes de travail ont été condamnées par l’Association des Journalistes Professionnels à plusieurs reprises…

Georges-Pierre Tonnelier
il y a 9 années

Le 11 mars, le Conseil de déontologie (CDJ) estimait « non fondée » la plainte d’un journaliste contre le site Résistances.be. Les responsables de ce site ont diffusé à ce propos un communiqué trompeur et préjudiciable au journaliste. Choquée par ce procédé, l’AJP entend apporter les corrections qui s’imposent.
Le litige concernait un texte de Résistances.be publié en septembre 2014 sous le titre « Les erreurs déontologiques du journaliste Pascal Lorent ». Le site revenait sur des articles et un commentaire critique que le journaliste du Soir avait publié en 2009 à propos du faux profil créé sur Facebook par résistances.be, et qui avait abouti à piéger un militant du FN.
Outre un droit de réponse publié par Résistances.be, Pascal Lorent avait déposé plainte devant le CDJ estimant que ses qualités professionnelles avaient été injustement mises en cause.
Le CDJ a estimé cette plainte non fondée, considérant que le site avait le droit d’émettre son point de vue et de critiquer les articles du plaignant. Le texte incriminé exprimait une opinion ; son contenu n’enfreignait ni l’exigence de recherche de la vérité ni l’exigence de confraternité, jugeait le CDJ.
Mais l’instance de déontologie avait pris soin de préciser dans son avis que celui-ci portait exclusivement sur le texte de Résistances.be s’en prenant au journaliste. Cet avis, soulignait le CDJ, « ne contient aucune appréciation ni sur les articles publiés dans Le Soir en juillet 2009 ni sur les méthodes de recherche d’informations utilisées par Résistances.be ».
Cette précision n’a pas empêché le site antifasciste d’écrire l’inverse et d’affirmer que « le CDJ confirme que Résistances.be respecte scrupuleusement la déontologie journalistique et démontre ainsi le sérieux de son travail de journalisme d’investigation ». On rappellera à ce propos que la technique du faux profil sur Facebook avait été condamnée (avec suspension du prononcé) par le tribunal correctionnel de Bruxelles le 20 mai 2014 (Lire le dossier du mensuel Journalistes de juin 2014).

Outre l’instrumentalisation abusive d’un avis du CDJ – instance cofondée par l’AJP – par une partie en cause, l’AJP ne peut admettre que cette partie jette publiquement, et pour la seconde fois, le doute sur l’honneur et la compétence professionnelle d’un journaliste auquel aucun reproche de cette nature n’a été adressé par le CDJ.

http://www.ajp.be/un-communique-trompeur-de-resistances-be/

Georges-Pierre Tonnelier
il y a 9 années

L’AJP rappelle que «rendu le 20 mai, le jugement a fait la part des choses (…). Mais, pour l’essentiel, il a dit qu’une investigation journalistique et la liberté d’expression ne justifiaient pas, dans le cas d’espèce, le port d’une fausse identité sur Facebook. En cela, le tribunal rejoignait clairement la déontologie journalistique pour laquelle les «moyens déloyaux» dont la provocation, ne sont envisageables qu’à certaines conditions, non réunies ici.

La condamnation de Résistances.be (avec suspension du prononcé) pour cette prévention remet en quelque sorte les pendules à l’heure à propos d’une méthode discutable dans son principe qui consistait, dans ce dossier, à piéger une personne pour la dénoncer ensuite à l’opinion publique. Ses auteurs répétaient en effet qu’ils avaient agi en pleine conformité avec la déontologie.»

http://www.ajp.be/telechargements/dossiers/160_dossier.pdf

HUGUEL
HUGUEL
il y a 9 années

Que ces ordures continuent dans leur traîtrise. Ils oublient que, demain, ils seront égorgés comme tous les non musulmans.Je crois que comme des lopettes ils s’empresseront de se convertir à la religion de paix pour sauver leur peau. Ce ne sont pas des gars sur qui on pourra compter pour sauver la France, qui, je crois, est aussi leur pays.L’ont-ils oublié depuis longtemps?