L’aliénation collective covidienne n’a pas de limite, toutes les folies s’y retrouvent.
Une déclaration publiée vendredi par l’association allemande d’euthanasie indique que « le suicide assisté et l’examen préliminaire de la capacité d’un patient à prendre des décisions librement impliquent une proximité physique entre les personnes. Or, c’est précisément la condition préalable à la propagation du Covid. »
Le groupe basé à Hambourg a donc publié de nouvelles directives insolites : dorénavant toute personne souhaitant être euthanasiée devra présenter d’abord une preuve de vaccination ou de rétablissement du Covid. Autrement pas de piquouse pour passer de vie à trépas !
On est plutôt étonné de telles directives alors que l‘hystérie médiatique et médicale ne cesse de tambouriner sur la dangerosité du petit virus : si le covid tue autant qu’on le dit, les personnes en fin de vie ou ayant des maladies si graves pour vouloir en finir avec la vie ne devraient pas avoir besoin de l’euthanasie, le covid devrait suffire à leur procurer ce dernier soupir tant désiré.
Il y a là une autre belle incohérence existentielle : voilà des adeptes du suicide assisté, la « douce mort » médicale, qui veulent mettre fin artificiellement à leur vie, mais une vie qu’ils veulent quand même sauver du covid grâce aux injections expérimentales anti-covid !
Au fond, ce que cette affaire manifeste c’est, et le fanatisme covidien qui a euthanasié sur son passage toute raison, et l’orgueil démesuré de l’humain post-moderne, -une des racines de cette crise covidienne qui a mis sous séquestre la vie par peur de la mort-, qui veut être maître de la vie et de la mort, décider quand, où, comment la faucheuse doit l’emporter. Pas avec et par le covid…
On vit décidemment une époque renversante…
Francesca de Villasmundo
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Je me joins à MPI pour vous remercier Monseigneur, de « tenir bon » face à tous vos confrères.
oui, mais comme le dit l’auteur, encore un petit effort Monseigneur !
Ne faisant pas la bonne analyse à propos du Concile VatII et de la nouvelle messe, il doit se sentir complètement écartelé, d’où le ton !
Mgr Fellay a également rédigé un fort beau texte, très peu relayé of course ! dans lequel il cite d’ailleurs Mgr Lefebvre, à lire ici :
http://www.dici.org/actualites/declaration-a-propos-du-rapport-final-du-synode-sur-la-famille/
Désolé, mais le texte de Mgr Fellay est d’une mollesse sans nom. Certes s’il rappelle la doctrine il évite bien soigneusement de dénoncer le Synode et la clique de Kasper.
Ne parlons pas du pape qu’il caresse dans le sens du poil faisant mine d’ignorer que François est à la manœuvre.
Il est vrai qu’il n’est pas aisé de dénoncer celui dont on espère une reconnaissance acquise par le compromis.
Ce n’est pas de la mollesse, c’est de la Charité ! mais apparemment, ça vous échappe !
Faut-il nécessairement avoir le couteau entre les dents ?
Un peu de hauteur ne fait aucun mal … prions, comme le demande instamment Mgr Fellay, c’est la seule chose qui compte et qui soit efficace !
Est-ce à dire que Mgr Schneider a le couteau entre les dents ? Vous-même ne le pensez pas.
La confession de la Foi comporte 2 exigences : le rappel de la doctrine, la condamnation des erreurs. L’un sans l’autre n’est pas de la Charité.
Je ne sais pas qui vous êtes pour vous permettre ce genre de jugement sur Mgr Fellay qui ne dénoncerait pas les erreurs … on croit rêver !
un dénonciateur du clavier sans doute !