La preuve définitive en a été apportée par Judith Butler et la théorie du Gender ! Judith Butler, dans son livre « Gender Trouble« , met en question les « confusions des identités« , reprenant à son compte la formule de Simone de Beauvoir, « On ne naît pas femme, on le devient« . On ne peut accepter la mystification de la propagande LGBT à propos des « enfants homosexuels« . La lutte contre l’idéologie des « ABCD de l’égalité » met en valeur la « conscience sociale » des parents d’élèves. La tyrannie idéologique des « ABCD de l’égalité » et de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT à l’école intéresse les familles et les parents d’élèves qui ont tenté de les soulever, lors d’essais de concertation avec différents ministres de l’Éducation nationale socialiste, sans succès, pour écarter les « ABCD de l’égalité« .
Il est politiquement incorrect de considérer comme anormale la propagande LGBT à propos « l’homosexualité pour tous« , ce qui correspond à une nouvelle forme de maladie mentale dite « homophobie« . Aussi, malgré le prosélytisme des activistes de l’Inter-LGBT à l’école, la propagande LGBT veut nous faire croire qu’aucune « intervention d‘association ne mettra en danger un enfant ou ne le fera devenir homosexuel« .
Judith Silberfeld cite un communiqué de l’Inter-LGBT : « Non, aucune intervention d’association ne mettra en danger un enfant ou ne le fera devenir homosexuel. Cela peut simplement l’aider à mieux vivre et mieux réussir sa scolarité, en particulier s’il/elle subit des violences en raison de son homosexualité… Oui, ces interventions sont importantes et servent à prévenir les violences et à informer. Parce que les enfants homosexuels ont envie, eux aussi, d’être tranquilles à l’école, et de ne pas se faire insulter, frapper… » Voilà, la messe est dite : « les enfants homosexuels« , « Qu’est cela ? » aurait dit Molière. « Les enfants homosexuels » n’existent pas avant l’irruption des pervers à l’école socialiste et les exploits pernicieux de David Dumortier.
« L’observatoire de la théorie du genre » conteste la volonté des activistes idéologues du lobby LGBT d’introduire « l’enseignement à « l’égalité de genre » dès l’école élémentaire… Le concept de genre définit les relations entre femmes et hommes en termes de rapports sociaux au-delà des attributs biologiques… L’identité de genre est « construite« par l’environnement social… De là, masculinité et féminité ne seraient pas des notions « naturelles« inhérentes à l’individu, mais des attributs culturels, fruits d’un processus social au cours duquel l’individu acquiert les caractéristiques du masculin ou du féminin. » Judith Butler affirme que le genre est une « construction » sociale qu’il faut « déconstruire ».
L’enseignement religieux de la « théologie » du Gender à l’école interroge les parents d’élèves. Dans le Nouvel Observateur, Judith Butler déclare : « On croit que « la définition« du sexe biologique est une évidence. En réalité, elle a toujours été « l’objet de controverses« … Le sexe biologique existe… « sa définition« nécessite « un langage et un cadre de pensée« … qui peuvent être contestées et qui le sont… Ce qui intéresse la « théorie du genre« … c’est que nous n’avons jamais une relation simple, transparente, indéniable au sexe biologique… » Ainsi Judith Butler nous autorise à penser, sur le fondement de la théorie du Gender, ce qui suit : On croit que « la définition« de l’homosexualité est une évidence. En réalité, elle a toujours été l’objet de controverses…
L’homosexualité existe… « sa définition« nécessite « un langage et un cadre de pensée« qui peuvent être contestées et qui le sont« … de même que la « théologie » du Gender à l’école.
Dr Thierry Ferjeux Michaud-Nérard,
pédopsychiatre, ancien expert près la Cour d’Appel
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