C’est une victoire ! Après des mois et des mois de persécution de la part du gouvernement du « young leader » de Klaus Schwab, la Première ministre Jacinda Ardern, les draconiennes mesures covidiennes sont totalement levées en Nouvelle-Zélande.
La Nouvelle-Zélande dirigée par la dure poigne d’Arden s’est surpassée, pendant les deux ans de folie covidienne, dans la répression contre les résistants aux vaccins géniques anti-covid, aux masques, aux injonctions contradictoires, aux confinements… et autres entorses aux libertés fondamentales. Elle a mis en place les règles les plus strictes au monde. Vaccinée et ultra-vaccinée, la Nouvelle-Zélande connait, comme tous les autres pays qui ont imposé la vaccination anti-covid et les nombreuses doses de rappel, une surmortalité inquiétante. Des chiffres qui ont dû faire réfléchir, si ce n’est inquiéter, Jacinda Ardern, le tribunal n’étant jamais bien loin lors de tels événements.
La dame de fer néo-zélandaise a pris la décision de lever presque toutes les mesures covidiennes qui, dit-elle, ne seront pas réintroduites. Pour s’exonérer de toutes responsabilités dans ce qui peut devenir un scandale à retardement, Ardern a poursuivi en disant que « avec le recul, les décisions ont été prises avec des informations imparfaites ». Cependant, ces décisions ont été « toujours prises avec les meilleures intentions », vieille rengaine de tous les totalitarismes meurtriers.
Les visiteurs voyageant dans la nation du Pacifique n’ont plus besoin d’être vaccinés contre le virus depuis le 9 septembre dernier. Toutes les autres réglementations gouvernementales en matière de vaccination expireront également le 26 septembre. Notamment l’obligation vaccinale pour le personnel soignant est supprimée.
La règle précédente selon laquelle les voyageurs devaient se tester pour le virus immédiatement après leur arrivée et le cinquième jour de leur séjour n’est également plus applicable. De plus, le port du masque n’est plus obligatoire, il ne devrait continuer d’exister que dans les hôpitaux et les maisons de retraite.
« Il est temps de tourner la page de notre gestion du Covid-19 et de vivre sans les mesures extraordinaires que nous avons prises précédemment », a encore déclaré lundi dernier la Première ministre Jacinda Ardern. Elle a poursuivi en faisant une révélation de poids : nous ne voulons « plus demander aux gens plus que les preuves (scientifiques) ne le permettent » ! Et d’ajouter un autre aveu : « Nous devons respecter les choix individuels de chacun », respect qui pendant deux ans a été purement et simplement nié aux Néo-Zélandais.
🚨Après avoir terrorisé la population néo-zélandaise pendant deux ans, le Premier ministre @jacindaardern fait marche arrière et annule l’obligation vaccinale (y compris les soignants)et les masques.
« Nous devons respecter les choix individuels de chacun »
Putain de 🤡 du @wef pic.twitter.com/EqfXXRuxey— Strategieduchoc 🇫🇷 (@strategieduchoc) September 12, 2022
Le pays a fermé ses frontières en mars 2020 et a initialement suivi une stratégie zéro-Covid stricte. Le pays ne s’est rouvert complètement qu’en juillet.
Le leader du parti ACT Nouvelle-Zélande et député, David Seymour, a salué la fin des restrictions de Covid, auxquelles « le gouvernement s’est tenu bien trop longtemps ». Il appelle maintenant à une enquête indépendante sur les mesures Covid du gouvernement pour « comprendre pleinement les dommages causés par les restrictions ».
Seymour :
« L’impact de notre réponse a été immense. Nous avons des raisons de croire qu’il y aura des impacts importants sur l’éducation, la santé mentale, la dépendance à l’aide sociale, la criminalité, la cohésion sociale, la force de l’entreprise et l’infrastructure de nos enfants pour les années à venir. »
Francesca de Villasmundo
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