A quelques jours des élections de mi-mandat, le Président Donald John Trump engrange les succès sur le front de la guerre économique tout comme son lointain prédécesseur, le dernier grand Président américain Ronald Wilson Reagan, l’avait fait sur le front géopolitique.
Si le déficit commercial américain était dans les années 1980 creusé par la balance déficitaire entre Tokyo et Washington, il est aujourd’hui lui derrière celui entre la Chine et les Etats-Unis. La dette commerciale entre le pays du Soleil Levant et celui de la bannière étoilée se creuse annuellement de 68.8 milliards de $, dont 40 % pour la seule industrie automobile, le Japon étant encore 3e producteur mondial de voitures (et était 1er dans les années 80).
Depuis son élection à la Maison Blanche, Trump a obtenu 20 milliards d’investissement japonais aux Etats-Unis, permettant la création de 37.000 emplois. Les projets sont les suivants :
– NEVADA : 3000 emplois créés par Panasonic dans le secteur des batteries automobiles.
– KANSAS, GOERGIE et TEXAS : 4000 emplois (6000 en 10 ans) créés par Kubota, dans le secteur des tracteurs.
– INDIANA et OHIO : 61,5 millions de $ d’investissement par Honda dans l’industrie automobile.
– ALABAMA : 1,6 milliards d’investissement et création de 4000 emplois par Toyota et Mazda dans l’industrie automobile.
– TENNESSEE : 170 millions d’investissement par Nissan dans l’industrie automobile.
– CAROLINE DU SUD : 280 millions d’investissement et 300 emplois créés par Teijin dans le domaine de la fibre de carbone.
« Yes we can ! » disait Barack Hussein Obama. “Yes, I did it !” lui répond Donald John Trump. Les promesses sont devenues réalités. Pour les électeurs du Don’, comme le disait le titre de chanson du groupe RAM : Dreams come true (les rêves deviennent réalité).
Hristo XIEP
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