Décidément, lors de l’année du singe, Hillary n’aura reçu que des cacahuètes ! Après la défaite de leur favorite contre Donald John Trump, les tenants du système tentèrent le tout pour le tout, tant il est vrai que la gauche est mauvaise perdante. Prête à toutes les bassesses pendant la campagne, elle continua dans ce qui est sa seconde nature en  tentant de faire croire que Trump avait été élu grâce à une aide russe. Caramba, encore raté… Malgré les efforts d’une CIA totalement inféodée à Clinton (le soutien reçu par son ancien chef George Bush Sr montre une proximité, disons, stupéfiante…) de faire croire que les mails compromettants pour la candidate mondialiste avaient été dévoilés suite à des complicités russes, il s’avéra rapidement qu’ils avaient été remis par un membre du Parti Démocrate écœuré des méthodes de sa candidate,  comme l’a déclaré l’ancien ambassadeur britannique Craig Murray. Ce qui explique pourquoi la CIA n’a jamais montré ses prétendues « preuves »… (généralement, quand on essaye de vous faire croire une chose sans preuves, c’est qu’elle est fausse. Surtout quand l’incrédulité est passible de prison…).

Mis à part assassiner Trump purement et simplement, il ne restait alors plus qu’une solution : « corrompre » 37 grands électeurs républicains en les incitants à ne pas voter pour « The Donald ». Pour la première fois depuis les présidentielles de 1808 – quand le colonel James Madison Jr perdit 6 grands électeurs de New York qui votèrent pour le futur vice-président George Clinton – un candidat fut trahi par certains de ses grands électeurs. Trump en avait 306, deux le lâchèrent au Texas, l’un votant pour Ronald « Ron » Ernest Paul, l’autre pour John Richard Kasich. Clinton en avait 232 et elle fut lâchée par… cinq d’entre eux ! Dans l’Etat du Washington, Killary perdit 4 de ses 12 grands électeurs, 3 votant pour le général Colin Luther Powell et 1 pour une indienne dakota, « Aigle tacheté fidèle », en anglais Faith Spotted Eagle et dans sa langue natale Tukan Inajin Win, première peau-rouge à obtenir une voix de grand électeur. Elle perdit également une voix à Hawaï au profit de Bernard « Bernie » Sanders.

Le clan Clinton aurait été bien avisé de regarder le dessin animé de Frederick Bean « Tex » Avery, The Chump Champ datant de 1950. Droopy Poodle, le sympathique corniaud champion de Cucamonga (Californie), affrontait le champion de New-York (plus exactement de Brooklyn), Gorgeous Gorillawitz, pour le titre de « roi du sport » et dont la récompense devait être un baiser de la « reine des sports ». Truquant sans vergogne et ses coups tordus se retournant contre lui à chaque fois, Gorillawitz remporta le prix suite à une ultime tricherie… pour s’apercevoir que « la reine des sports » devant l’embrasser était un épouvantable laideron ! Ce qui fit conclure à Droopy : «Les tricheurs ne gagnent jamais… ». Cela arrive parfois aussi dans la vraie vie ! Mais notons qu’une fois encore, la gauche a montré son incapacité à accepter loyalement le résultat des urnes.

Hristo XIEP

Tex Avery – The Chump Champ (1950) par tex-kracken

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