Aux environs de 20 h 40 samedi soir, un homme a commencé à attaquer, en criant « Allah Akbar », des passants avec un couteau. L’attaque s’est déroulée entre la rue Saint-Augustin et la rue Monsigny, dans le 2e arrondissement de Paris, à proximité de l’Opéra Garnier. Il s’agit d’un quartier touristique de bars, restaurants et théâtres, très fréquenté le samedi soir.
Une patrouille de trois agents de police secours des 2e et 3e arrondissements circulant rue Saint-Augustin a été alertée par des passants qui les informent de la présence d’un homme muni d’un couteau, qui vient d’agresser plusieurs personnes. Ils le rattrapent au niveau du 8, rue Monsigny, dans le prolongement de la rue Marsollier. Les voyant arriver à sa hauteur, l’agresseur se dirige vers eux et les menace. A deux reprises, un des policiers essaie de le maîtriser avec un pistolet à impulsion électrique, sans succès. Son collègue sort alors son arme et tire deux fois. Le jeune homme est atteint au niveau du cœur. Il lâche son couteau, dont la lame de dix centimètres se brise.
Khamzat Azimov, le terroriste qui a agi au nom de Daesh est un Tchétchène, né en 1997, arrivé en France à l’âge de 13 ans et ayant obtenu la nationalité française en 2010. Et il était fiché S pour ses liens avec la mouvance islamiste ! Comme le responsable de l’attentat du 23 mars, comme les deux meurtriers du père Hamel, comme les frères Kouachi et Amedy Coulibaly de l’attentat à Charlie Hebdo, comme Ayoub El Khazzani le terroriste du train Thalys, comme Mehdi Memmouche qui a frappé à Bruxelles, comme Mohamed Merah, et ainsi de suite, comme bien des violeurs et agresseurs islamistes qui pullulent en Europe… et restent libres de commettre leurs actes meurtriers.
Ce énième attentat commis par un soi-disant « Français » né sur un sol étranger, de culture et religion musulmane, devenu Français grâce à l’idéologie immigrationniste qui sévit au sein des gouvernements de gauche ou de droite, c’est du pareil au même, qui se succèdent, soulève à nouveau la question de la liberté des fichiers S, de la naturalisation systématique des enfants étrangers mineurs et de l’accueil des clandestins provenant de régions soumises à la loi coranique.
Francesca de Villasmundo
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