Il n’y avait donc pas que Rotherham… Un nouveau scandale de pédophilie raciste, réalisé avec la complicité de la police et des assistantes sociales secoue donc la ville de Telford, située à 50 kilomètres à l’ouest de Birmingham.
Depuis 40 ans, un millier de gamines autochtones, certaines âgée d’a peine 11 ans, ont été violée, battues, prostituées et même tuées pour au moins 5 d’entre elles par un puissant gang pédophile composé exclusivement de Pakistanais, dont le chef a été identifié comme étant Shahzad « Keith » Khan, et les principaux protagonistes les frères Ali. Comme à Rotherham. La police s’est montrée complice des violeurs. Comme à Rotherham. Les assistantes sociales ont fait taire les victimes, les ont laissées à leurs bourreaux. Comme à Rotherham. Comme le signale le journal The Mirror qui a révélé le scandale :
« Les travailleurs sociaux étaient au courant de mauvais traitements dans les années 1990, mais la police a mis dix ans à lancer une enquête. Le personnel du Conseil considérait les enfants victimes de violence et de traite comme des « prostituées » plutôt que comme des victimes, selon des rapports jamais révélés auparavant. Les autorités n’ont pas gardé les détails des agresseurs des communautés asiatiques par crainte du « racisme ». La police n’a pas voulu enquêter sur un cas récent à cinq reprises, jusqu’à ce qu’un député intervienne. Une victime dit que les policiers ont essayé de l’empêcher de découvrir pourquoi ses agresseurs n’avaient pas été poursuivis, la police était inquiète du fait qu’elle parle au Mirror ».
Notons que la député en question, Lucy Elizabeth Allan, est une députée conservatrice, élue à Telford en 2015. Pour que le scandale éclate, il a fallut que la circonscription bascule à droite… La circonscription de Rotherham, elle, est bien entendu de gauche. Elle a immédiatement exigé une commission d’enquête.
Les témoignages recueillis par The Mirror sont glaçants :
« une jeune fille de 14 ans, exploitée et maltraitée après que son numéro de téléphone fut vendu à des pédophiles, nous a dit: »Je détestais ce qui se passait et mes agresseurs me donnaient la chair de poule, mais on m’a dit que si je disais un mot à quelqu’un, ils viendraient chercher mes petites sœurs et diraient à ma mère que j’étais une prostituée. » « Nuit après nuit, j’ai été forcée de coucher avec plusieurs hommes dans des sordides boutiques de restauration rapide et des maisons dégueulasses. Je dois avoir reçu la pilule du lendemain matin d’une clinique locale au moins deux fois par semaine, mais personne ne m’a posé de questions. » « Je suis tombée enceinte deux fois et j’ai eu deux avortements. Quelques heures après le second, un de mes agresseurs m’a emmenée pour me faire violer par d’autres hommes. Le pire moment est survenu juste après mon 16e anniversaire quand j’ai été droguée et violée par cinq hommes. Quelques jours plus tard, le meneur vient chez moi et me dit qu’il brûlera ma maison si je souffle mot de ce qu’il s’est passé. »
La complicité totale de la police avec les criminels pakistanais est également mise en pleine lumière : « Nos enquêteurs ont parlé à 12 victimes, pour la plupart sans lien entre elles. Elles ont accusé plus de 70 agresseurs et affirmé que des viols violents étaient encore commis il y a quelques mois. Des documents qui seront transmis au ministère de l’Intérieur révèlent que les autorités connaissaient ces horreurs une décennie avant d’enquêter – et montrent comment elles ont tenté d’entraver notre enquête », exactement ce qu’elle a fait à Rotherham comme le rappelle l’article. A Rotherham, la police savait depuis 1981 mais a refusé d’agir par peur d’être accusée de racisme et se réfugiant derrière une procédure complexe.
Notons le silence absolu des grands médias, qui n’ont toujours rien publié, à part Le Figaro et le Dauphiné qui, s’ils ont mentionné du bout des lèvres le fait que les victimes étaient blanches, se sont bien gardé de préciser que les bourreaux étaient – comme à Rotherham – des musulmans pakistanais. Quant au Boulevard Voltaire, c’est le nuisible Christian de Molinier qui s’empresse de voler au secours de l’islam
Tout comme celle de Rotherham, cette affaire sordide permet au moins de montrer le vrai visage des féministes. Leur silence absolu (pas une condamnation de Haas, de Lecoq, de Daam et autres) montre bien leur mépris total de la femme, surtout quand celle-ci est blanche et pauvre. Les deux plus gros scandales de pédophilies, 2500 victimes de porcs et pas une ligne… Hélas pour les victimes, les porcs ne sont pas des blancs, et elles-mêmes ne le sont que trop…
Nous allons tout de même reproduite des extraits de l’article courageux de l’écrivain anglais Joanna Williams :
« Les militantes #MeToo de la haute société n’ont de cesse de clamer qu’elles sont guidées par leur volonté d’aider les femmes moins favorisées qu’elles, et non par leur intérêt personnel. Jane Merrick affirme qu’elle a tout déballé parce que « Je savais qu’en n’agissant pas, je laissais tomber mon Moi de 29 ans, mais aussi toutes les autres femmes qui subiraient la même chose que moi dans le futur ». Kate Maltby a fait une déclaration du même type : « C’est vrai que je jouis de nombreux privilèges que d’autres femmes n’ont pas. C’est pour cela que j’ai le devoir envers elles de me montrer. Quand on voit des femmes blanches et aisées dire « Me Too », il faut se demander quelles sont les autres voix qu’on n’entend pas ». Trop occupées par leur tapage sacrificiel et solidaire, Merrick et Maltby n’ont pas eu un mot pour les victimes adolescentes de Telford. Pourquoi n’a-t-on pas vu d’effusions de compassion ou de déclarations scandalisées pour les filles de Telford ? Pourquoi les actrices ne se font-elles pas photographier dans leurs robes de luxe à Telford ? Pourquoi n’a-t-il pas beaucoup de journalistes pour interrompre leurs longs déjeuners afin de donner une voix aux filles de Telford ? Peut-être que tout simplement, les femmes de Telford appartiennent à la mauvaise catégorie de victimes. #MeToo préfère les victimes de la haute société. Jane Merrick déjeunait dans un restaurant très huppé de Westminster quand Fallon a tenté de l’embrasser. La famille aisée et bien en vue de Kate Maltby n’a sans doute pas été un frein à sa carrière. Chaque robe portée par les stars glamour qui ont orné les pages du Times Magazine et ont été célébrées comme « briseuses de silence » coûte plus que le salaire annuel moyen d’un habitant de Telford. Ou peut-être que les hommes « asiatiques » accusés de détournement de mineur, de viol, de trafic de drogue, de meurtre et de pédophilie appartiennent à la mauvaise catégorie d’hommes violents. #MeToo préfère que les accusés soient des hommes blancs et puissants, comme Harvey Weinstein ou les membres du cabinet ministériel conservateur. Les violences commises par des hommes musulmans bousculent la hiérarchie soigneusement mise en place par le féminisme intersectionnel et contredisent le discours habituel sur le patriarcat. Les tribuns et militantes s’inquiètent davantage du risque de racisme ou d’islamophobie que des violences sexuelles qui ont eu lieu. »
Cet article, écrite par une femme qui défend réellement les femmes, montre le vrai visage, le nez insolent, le nez arrogant, que dis-je, le nez impudent d’un pseudo-féminisme que j’appelle les « féminazes », avec les mêmes arguments que j’aurais utilisé. Aux prochaines imbécilités écrites par Titiou Lecoq, c’est-à-dire avant le coucher du soleil ou le prochain but marqué par le FC Barcelone, ce sera deux claques verbales : Rotherham et Telford. Pour toutes nos petites sœurs martyrisées par des porcs dont elle se moquent parce que ces porcs-là sont hallal. Si des skins avaient violés 2.000 petites pakis, là on l’aurait entendue…
Décidément, l’Angleterre rivalise avec la Suède dans l’islamo-collaboration. Comme quoi, le Brexit c’est bien, mais l’Exitpakis, ce ne serait pas mal non plus…
Hristo XIEP
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