Olaf Scholz, social-démocrate allemand, vient de succéder officiellement mercredi 8 décembre à l’ange noir de l’Allemagne, Angela Merkel, au poste de chancelier. On parle d’un « nouveau départ » d’une « nouvelle ère » pour l’Allemagne et l’Europe, mais on reste sur l’axe idéologique de l’ancienne chancelière : immigration et hygiénisme, sont les deux mamelles de la Germanie post-moderne.
A la tête d’une coalition entre les sociaux-démocrates, les Verts et les Libéraux, le programme d’Olaf Scholz, Oser le progrès, prévoit toujours plus d’immigrés, plus de lois vertes et, en ce temps de crise de covidisme aigu, plus de mesures sanitaires drastiques : une Europe fédérale, le vote à 16 ans, l’immigration ouverte, le cannabis légalisé, les injections expérimentales à ARNm anti-covid obligatoires…
En matière de politique migratoire, on continue à promouvoir l’invasion. Le nouveau gouvernement Scholz prévoit « un nouveau départ dans la politique de migration et d’intégration, comme cela convient à un pays d’immigration moderne ». « Les trois nouveaux partenaires de coalition, écrit La Croix, veulent faciliter l’accès à la nationalité allemande pour les enfants nés en Allemagne de parents étrangers, et élargir la possibilité de double nationalité. Berlin souhaite toujours ‘’réduire l’immigration illégale‘’, accélérer les rapatriements des individus sans possibilité de rester sur le territoire, mais entend faciliter le regroupement familial pour les migrants ayant reçu une protection dans le pays. »
Scholz, celui qui veut imposer aux Allemands un passeport sanitaire via une « vaccination » obligatoire sous peine d’exclure les récalcitrants de la vie sociale et professionnelle, a contrario, veut imposer une immigration de masse, de clandestins sans passeport, en proposant une loi organisant l’accueil de 400 000 personnes par an pour palier au déclin démographique de l’Allemagne qui manque ainsi de main-d’œuvre qualifiée dans l’industrie, les services et le médical.
Au lieu de lancer une vaste politique favorisant la natalité, un tiers d’Allemandes refusant d’avoir des enfants, le nouveau chancelier préconise en fin de compte le Grand Remplacement de son pays. Merkel, Olaf, c’est du pareil au même… La dictature sanitaire et le Grand Remplacement, les deux mâchoires des mondialistes de Davos, continuent leur marche forcée pour changer l’Allemagne et l’Europe par extension.
Francesca de Villasmundo
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