Toutes les doctrines politiques ou religieuses préconisent plus ou moins – du moins dans le dicours officiel – plutôt l’entraide, le respect, l’empathie et l’amour des autres. Pourtant, notamment deux idéologies dérogent à la règle : la théorie politique du nazisme qui exhortait à la pureté de la race, à l’extermination des Juifs et de tous les déviants sexuels, et d’autre part, les préceptes religieux de l’islam qui prêchent la haine des autres, … l’extermination des Juifs, des incroyants, des déviants sexuels… Évidemment, les spécialistes de l’islam rétorqueront, très justement, que le Coran peut se lire de diverses façons et que les radicaux islamistes sont dans l’erreur d’appréciation. Certes, mais, différence qui en dit long sur les dérives de l’islam, les intégristes des autres religions n’appellent jamais au meurtre de ceux qui ne pensent pas comme eux. En tout cas, ils ne passent pas à l’acte et restent apparemment civilisés, contrairement aux adeptes de l’islam radical qui pratiquent, allègrement, le terrorisme et la communication idéologique par des mises en scènes macabres et barbares.
La haine de l’islamiste contre tous ceux qui ne lui ressemble pas, avant le passage au meurtre pour les plus fanatiques, peut se traduire de mille façons différentes. Toujours bêtement ou violemment, mais à chaque fois avec son « pauvre cerveau devenu comme un pois chiche ; quand il marchait dans la rue, ça sonnait comme un grelot de bicyclette » pour parodier une célèbre réplique écrite par Marcel Pagnol pour sa trilogie. Sauf que chez l’islamiste kamikaze, sa cervelle ratatinée par une idéologie mortifère, ne fait pas « grelin, grelin » pour nous avertir. C’est plutôt l’inverse : l’art de la dissimulation est chez lui, un art de guerre, comme une seconde nature. C’est bien la seule intelligence qu’on peut lui reconnaître et qui, malheureusement, lui permet de faire beaucoup de victimes collatérales.
Confortés par le laxisme ambiant des bisounours professionnels, ayant eux aussi, un pois chiche dans la tête, les islamistes de base qui veulent affirmer leur croyance, profèrent, en toute impunité, des arguments haineux inconcevables pour le commun des mortels un peu évolué. Quelques exemples récents et significatifs, relatés par voie de presse, peuvent étayer l’indigence de leurs raisonnements ou l’incurie des autorités : à Montpellier, dans un cabinet médical, une islamiste bouscule violemment et menace de mort la secrétaire parce qu’elle ne porte pas le voile… Interpellée, peu après, elle nie et assure, contrairement aux témoins ayant assisté à l’altercation, que c’est elle qui a été malmenée… Toujours la même méthode usitée par les islamistes : « ce n’est pas moi, c’est l’autre qui a commencé »… Deuxième exemple : Smaïn Aït Ali Belkacem, 48 ans, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour les attentats de 1995 à Paris, particulièrement surveillé pour avoir, avec son ami d’Amedy Coulibaly, le terroriste de l’Hyper Cacher, fait deux tentatives d’évasion, a pu recevoir au parloir de la centrale d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne) son épouse, Aïcha, arrivant d’Algérie, titulaire d’un permis de visite et d’un permis de séjour… alors qu’elle est interdite de séjour en France, par arrêté du ministère de l’Intérieur… Autre exemple : Nicolas Moreau, français de souche converti à l’islam, déjà condamné 14 fois, comparaît devant la 16e chambre du tribunal correctionnel pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste« … Sa stratégie de défense : « si vous me relâchez pas, moi, je vous promets, je vais pas me laisser faire. Je reprends les armes !« … En prison, il est, ce que l’on appelle un détenu difficile : la dernière fois qu’il a menacé un surveillant, il déclara : « Je nique la France et les sales Français !« … Lui, à la place du cerveau, il a quoi ?
La France et les pays occidentaux subissent une pression insoutenable de la part d’individus et de groupes décérébrés, soumis à une doctrine de haine et devenus incapables d’avoir le moindre recul raisonnable par rapport à des textes écrits au septième siècle. Cette pression ne serait rien si elle ne s’exerçait pas de manière massivement récurrente et trop souvent sanglante. Et nous interpelle sur une question cruciale : quand les pouvoirs publics vont-ils comprendre que nos lois démocratiques ne sont pas adaptées aux ignominies islamistes et que pour contrer des sauvages sans foi ni loi, ayant un pois chiche à la place du cerveau, il faudra adapter un arsenal juridique et judiciaire particulier ? En temps de guerre, mesures de guerre !
Claude PICARD
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