François Bayrou, l’homme de toutes les trahisons a renoncé à se présenter à la présidence de la République en raison des sondages qui ne lui accordent que 5% des voix. Bien peu pour espérer se faire rembourser les frais de campagne qui ne le sont qu’à partir de 5%. Mais comme l’homme aime faire parler de lui et a négocié quelques prébendes en coulisses, il a décidé d’appuyer la candidature en perte de vitesse de Macron, l’homme de la banque Rotschild et autre figure de Judas qui en peu de temps a accumulé les trahisons de son pays. Soit de l’Elysée où il était conseiller de François Hollande, soit de Bercy où il était ministre de l’Économie.
Parmi les trahisons notoires du mondialiste de gauche, Macron:
- Il a amputé l’indépendance énergétique de la France d’Alstom-énergie, qu’il a vendu aux Américains,
- il a livré SFR au magnat maroco-isrélien Patrick Drahi. Ce dernier le remercie en lui offrant des tribunes laudatives sur tous les gros médias.
- Et enfin, Emmanuel Macron a trahi l’Histoire de France et les Français en qualifiant la colonisation de l’Algérie de « crime contre l’humanité ».
François Bayrou a changé diamétralement d’opinion sur Macron, en l’espace de quelques semaines:
Le maire de Pau a redit dans l’émission « Questions politiques » (France Inter-France Info-Le Monde), qu’il ne se « reconnaî(t) pas dans ce qu’Emmanuel Macron incarne ».
« Le projet de société qui est celui d’Emmanuel Macron (…), on le connaît bien, il est au fond infiniment proche de celui que Nicolas Sarkozy défendait en 2007 », estime ce soutien d’Alain Juppé, soulignant s’être « affronté avec Nicolas Sarkozy en particulier sur les inégalités croissantes, la justification sur les milliardaires ».
« Après avoir évoqué la formule de l’ancien ministre de l’économie, selon lequel « il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires », le président du MoDem a souligné que « Nicolas Sarkozy disait “ça, c’est la réussite” ». « C’est évidemment le monde de l’argent. Or, aujourd’hui, l’argent gouverne tout », a déploré le maire de Pau et ancien candidat à la présidentielle.
« M. Bayrou a aussi épinglé les passages de M. Macron du secteur public au secteur privé. « Si vous lisez la notice Wikipédia d’Emmanuel Macron, vous voyez : haut fonctionnaire, banquier d’affaires, homme politique », a-t-il dit. Et de clamer que, pour sa part, il s’était « toute (s)a vie (…) battu pour qu’il n’y ait pas de connivences, pas de franchissement de frontières entre le monde des intérêts privés et celui de l’intérêt public ».
« Je m’oppose à un projet de société “des inégalités croissantes” » et à la « perte du sens de ce qu’est la vie des gens » au profit d’un projet « d’unité », a dit le dirigeant centriste, plaidant pour des mesures en faveur de l’emploi et du pouvoir d’achat. Le Monde
Mais aujourd’hui le maire de Pau, François Bayrou, qui avait appelé à voter pour François Hollande au deuxième tour de la présidentielle, trahissant ainsi son engagement envers Nicolas Sarkozy, retourne naturellement vers son maître en demandant alliance à la créature de François Hollande, Emmanuel Macron, chargé par l’Elysée de porter ses couleurs ternies mais astucieusement rehaussées de maquillage, lors des présidentielles afin que perdure le Système mondialiste à la tête de la France. Le principal argument à ce changement diamétral d’analyse de la candidature serait devenue la probité. Mais oui c’est au nom de la probité et de l’honnêteté que François Bayrou a trouvé astucieux de demander alliance à Emmanuel Macron… Macron qui représentait pour lui voilà quelques semaines le règne de l’argent et le « franchissement de frontières entre le monde des intérêts privés et celui de l’intérêt public ». Comme probité, il y a beaucoup mieux, et ceci c’est au nom de l’unité qu’il rejetait également avec force!..
Des cautères pour des jambes de bois… Après le ralliement des 1% de voix écologistes de Jadot et l’insignifiance des voix que peut représenter l’autre écolo, François de Rugy, plus quelques autres comme Eva Joly, Emmanuel Macron semble rassembler sous sa bannière le club des insignifiants et des Judas, ce qui ne devrait pas gêner la poursuite tranquille de sa chute de popularité, maintenant qu’il a jeté le masque.
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emiliedefresne@medias-presse.info
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