Depuis des décennies, le bien-pensant « vivre-ensemble » est devenu la grande justification de la conscience morale universelle pour faire accepter à des peuples européens une immigration massive. Mais cette panacée de la vie en société n’a fait que favoriser de forts communautarismes religieux, civilisationnels, culturels venus d’ailleurs. Cette utopie multiculturelle se retrouve aujourd’hui confrontée au réel de minorités étrangères devenues puissantes.
Après New-York, Washington, et autres villes états-uniennes, après Paris et les cités de France, c’est au tour de Londres de connaître les débordements et violences fomentées par des « indigénistes », « décolonialistes » et autres Black Lives Matter, bras armé d’un socialisme mondialiste, semant chaos et destruction pour bâtir un homme nouveau sans frontière, sans racine, sans famille, nomade et errant.
En solidarité avec les manifestations organisées par les Black Lives Matter et les Antifa aux États-Unis à la suite du décès de l’Afro-Américain George Floyd, des milliers de personnes se sont rassemblées aujourd’hui dans le centre de Londres, et un bon nombre a attaqué la résidence du premier ministre britannique, Boris Johnson, au 10 Downing Street. Pourtant ce dernier leur avait donné des gages en déclarant mercredi à la Chambre des communes que la mort de Floyd était « inexcusable ». Un certain nombre d’affrontements ont eu lieu entre manifestants et policiers, ces derniers ont dû faire face à des coups de poing et à des lancés de projectiles. Treize personnes ont été arrêtées dans le cadre du mouvement Black Lives Matter.
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Attaque des #BlackLivesMatter contre la résidence du 1er ministre britannique à #london pic.twitter.com/14ApYIq2wq
— L’Étudiant Libre (@LEtudiant_Libre) June 3, 2020
La guerre raciale aura bien lieu !
Francesca de Villasmundo
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