Nestlé a annoncé avoir embauché un millier de… robots humanoïdes pour vendre ses machines à café Nescafé dans les magasins d’électronique du Japon. C’est la société de technologie japonaise Softbank Corp qui a mis au point le vendeur des temps modernes.
Première entreprise agroalimentaire mondiale en 2013, l’entreprise multinationale d’origine suisse Nestlé aime présenter une image éthique.
Le 9 octobre dernier, Nestlé organisait conjointement avec la Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement (CNUCED) le Forum mondial sur la Création de Valeur Partagée. Le thème de l’année : « Changer le rôle de l’entreprise dans la société ».
Mais, derrière tout un bla-bla sur le développement durable, Nestlé participe à la mise en place du schéma transhumaniste. Le robot « intelligent » remplacera donc l’homme. Le test se fera au Japon mais, en toute logique, après la phase d’expérimentation nippone, les robots devraient faire leur apparition partout y compris en France.
D’autant que ce robot japonais est aussi un petit peu français. Appelé Pepper, car il faut créer l’empathie pour désamorcer la méfiance des consommateurs futurs chômeurs, le robot a été développé en France par la société Aldebaran et est fabriqué par Foxconn à Taiwan, avant de finir avec un label japonais. C’est ça aussi le mondialisme.
Lors de la présentation de ce robot, il a été affirmé qu’il peut apprendre et exprimer des émotions humaines et servir de compagnon ou de guide dans les pays frappés par des… pénuries de main-d’œuvre. Vu le niveau de chômage, il y aurait de quoi sourire si ce n’était si grave.
Softbank a indiqué que son robot coûtait environ 198 000 Yens (près de 1 440 euros). Pas de doute, c’est moins cher qu’un employé…
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !